Nous avons demandĂ© Ă mon frĂšre la fille ce jour-lĂ . Le lendemain, nous sommes retournĂ©s Ă Giresun. La date Ă©tait fixĂ©e, le mariage devait avoir lieu Ă la mi-juillet. Les jours passĂšrent et la date du mariage arriva. Nous avons Ă©galement revu le voyage Ă Adana. Cette fois, il semblait que la route ne sâarrĂȘtait pas. Quand nous sommes arrivĂ©s Ă Adana, nous sommes immĂ©diatement allĂ©s au village au lieu de lâhĂŽtel et nous nous sommes installĂ©s dans une maison quâils nous ont montrĂ©e. Le mariage Ă©tait dans 2 jours. La robe de mariĂ©e, le mariĂ©, etc., tout Ă©tait prĂȘt. Comme les familles ne pensaient quâĂ la ruĂ©e vers le mariage, nous nous promenions avec TuÄba. nous Ă©tions comme des amis pendant 2 jours.
AprĂšs la cĂ©lĂ©bration du mariage la nuit de noces, une grande table a Ă©tĂ© dressĂ©e. Ceux qui mangeaient la nourriture se levaient, ceux qui le voulaient se promenaient, ceux qui le voulaient bavardaient, il y avait une ambiance festive complĂšte. Nous Ă©tions assis sous un arbre avec TuÄba. TuÄba avait une tenue moulante blanche sur le dessus et une jupe moulante bleue au-dessus du genou en dessous. CâĂ©tait super avec un maquillage lĂ©ger. Quand jâai dit Ă TuÄba que je mâennuyais beaucoup, il est venu me chercher et mâa dit: âViens avec moi!âdit-il. Nous sommes arrivĂ©s devant une maison que nous nâavons pas reconnue. CâĂ©tait loin du lieu du mariage. Tugba sortit une clĂ© de son sac et ouvrit la porte. âOĂč est cet endroit?âquand jâai dit: âLa maison de mon ami, ils sont allĂ©s Ă Adana pendant 2 semaines en famille!âil a dit et a souri. Je suis allĂ© dans le salon et TuÄba a apportĂ© du coca de la cuisine. Nous avons commencĂ© Ă parler en buvant nos Coca.
Une fois le coca terminĂ©, TuÄba a pris le verre de ma main et lâa mis sur le plateau. Je ne pouvais pas supporter de le voir se promener devant moi et prendre le plateau. Je lâai immĂ©diatement allongĂ©e sur le siĂšge en la saisissant autour de la taille et me suis accrochĂ©e Ă ses lĂšvres. Il me poussait, mais il nây arrivait pas. Quand il a libĂ©rĂ© ses lĂšvres de mes lĂšvres, il a dit: âRegarde, je vais crier, non!âdit-il. Mais je nâĂ©coutais pas, âAllez, tu mâas tellement excitĂ©!Jâai dit. Il a dit :âJe suis vierge!âdit-il. âJe promets que je ne toucherai pas Ă ta jeunesse!âil sâest un peu calmĂ© quand jâai dit. Je mâaccrochai Ă nouveau Ă ses lĂšvres. Il ne me rendait pas la pareille, mais il ne mâempĂȘchait pas de mâembrasser comme avant.
Jâai embrassĂ© ses lĂšvres doucement pendant un long moment, sa respiration avait changĂ©. Je suis descendu de ses lĂšvres Ă son cou et je suis parti aprĂšs lui avoir lĂ©chĂ© le cou pendant un moment. Ma bite devenait vraiment dure. Jâai immĂ©diatement enlevĂ© mon pantalon et posĂ© mon caleçon. Tugba fixait ma bite avec surprise. âAllez, lĂšche-le!âquand jâai dit: âJe ne prends pas ça dans ma bouche!âdit-il. Jâai insistĂ© â â Allez, ne pleurniche pas!âparce que. Il le prit Ă contrecĆur dans sa main, et aprĂšs lâavoir examinĂ© un peu, il ouvrit les lĂšvres. Quand je lâai mis dans ma bouche avec des mouvements lents, un grand plaisir mâest venu. Je voulais quâil accĂ©lĂšre, mais il Ă©tait novice et ne pouvait mĂȘme pas prendre toute ma bite dans sa bouche. Je devenais encore plus excitĂ© en le regardant lĂ©cher novice. AprĂšs que Tugba mâait lĂ©chĂ© la bite pendant environ 10 minutes, il a dit: âĂa suffit!âdit-il. Je nâai pas poussĂ© plus fort non plus. Jâai immĂ©diatement enlevĂ© la sangle sur elle, dĂ©tachĂ© son sĂŒdyin et embrassĂ© ses seins dressĂ©s.
Tugba me regardait dâun cĂŽtĂ© et gĂ©missait lĂ©gĂšrement de lâautre. Ses mamelons Ă©taient bien cloquĂ©s, ce qui Ă©tait un signe quâelle apprĂ©ciait ça. Ses yeux se fermaient lentement. Ses seins Ă©taient complĂštement mouillĂ©s par mon lĂ©chage, je lĂ©chais les deux seins rapidement. Jâai enlevĂ© la jupe de TuÄba sans arrĂȘter de sucer ses seins. En dessous, il y avait une culotte avec des taches rouges sur du blanc. Elle avait lâair si sexy sur sa peau blanche. Jâaurais pu dĂ©chirer sa culotte et la baiser Ă ce moment-lĂ , mais si elle lâavait dit Ă quelquâun, ma mort aurait pu venir de ce village. Je suis descendu avec des baisers de ses seins Ă son ventre. Je suis enfin arrivĂ© Ă ta culotte. Juste au moment oĂč elle Ă©tait sur le point dâenlever sa culotte, la Brique a attrapĂ© ma main et a dit: âNon!âdit-il. âJe ne toucherai pas Ă ta jeunesse, je vais juste te lĂ©cher la chatte!âquand jâai dit: âPas question!âdit-il.
Alors je nâai pas insistĂ©, jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte Ă travers sa culotte. Peu Ă peu, sa culotte se mouillait. Quand jâai regardĂ© TuÄba, il serrait ses deux seins avec ses mains et serrait. Vraiment pour son Ăąge, elle avait de superbes seins en Ă©rection et gros. Jâai soulevĂ© TuÄba et lâai fait se recroqueviller sur le siĂšge, jâai embrassĂ© les joues de son cul sur la culotte et jâai commencĂ© Ă le caresser. Dâun cĂŽtĂ©, je caressais le haut de sa chatte. Tugba a commencĂ© Ă avoir des contractions et a finalement eu un orgasme. Jâai de nouveau allongĂ© TuÄba sur le dos et mis ma bite dans sa bouche. Cette fois, il le prit sans objection, le ramassa et le lĂ©cha. Peu de temps aprĂšs, jâai rĂ©alisĂ© que jâallais jouir aussi, et je lâai sorti de sa bouche et Ă©jaculĂ© sur ses seins. TuÄba sâest immĂ©diatement levĂ© et a couru vers la salle de bain. Dâabord il sâest lavĂ©, est sorti, puis je suis allĂ© dans la salle de bain.
Quand je me suis lavĂ© et que je suis sorti, Tugba Ă©tait habillĂ© et assis sur le canapĂ©, me regardant avec des yeux en colĂšre. Quand je mâassois Ă cĂŽtĂ© de lui, il dit â â Allons-y!âil sâest levĂ©, a-t-il dit. Nous avons quittĂ© la maison, sommes allĂ©s au lieu du mariage sans parler. Les gens sâamusaient encore. Le plaisir a durĂ© jusquâĂ 4 heures du soir, puis tout le monde sâest dispersĂ© chez lui. Le matin, mes parents leur ont dit que nous allions dĂ©jeuner hier. Normalement, je nây serais pas allĂ©, mais jây suis allĂ© pour pouvoir parler Ă TuÄba. Mon frĂšre et ma belle-sĆur Ă©taient partis pour Antalya pour leur lune de miel tĂŽt le matin. TuÄba nâest pas venu au petit-dĂ©jeuner en disant quâil avait mal Ă la tĂȘte, mais jâĂ©tais sĂ»r que cela nâavait rien Ă voir avec cela. Nous nâavons jamais parlĂ© avec TuÄba aprĂšs le petit dĂ©jeuner non plus.
Ăa me dĂ©rangeait. Jâai dit Ă mon pĂšre que je voulais faire un tour en voiture pendant un moment et jâai obtenu la permission. Je voulais rester un peu Ă lâĂ©cart du village jusquâĂ ce que jâaille Ă Giresun. Je suis allĂ© Ă Adana. Jâai marchĂ© et errĂ© jusquâau soir. Jâallais rentrer au village Ă minuit, mais vers 9 heures, jâai reçu un message de TuÄba sur mon tĂ©lĂ©phone: âJe tâattends sur le chemin Ă lâentrĂ©e du village!â câĂ©tait Ă©crit. Jâai immĂ©diatement sautĂ© dans la voiture et me suis dirigĂ© vers le village. Il y avait un petit sentier Ă droite avant lâentrĂ©e du village, jây ai tirĂ© la voiture. Je suis descendu et jâai commencĂ© Ă regarder autour de moi, rien ne pouvait ĂȘtre vu dans lâobscuritĂ©. Ă ce moment-lĂ , quelquâun derriĂšre moi a fermĂ© les yeux.
CâĂ©tait Tugba. Il souriait cette fois. Nous sommes montĂ©s dans la voiture immĂ©diatement. âRetournons chez mon ami!âdit-il. Jâai commencĂ© Ă conduire la voiture vers lĂ -bas. Je lui ai dit: âPourquoi ne voulais-tu pas me parler aujourdâhui?âJâai demandĂ©. Mais TuÄba a dit: âNâen parlons pas, nous commençons par le dĂ©but!âil sourit en disant. Il Ă©tait un peu plus de 10 heures lorsque nous sommes arrivĂ©s chez son ami. Quelque chose allait se passer ce soir, je pouvais le sentir. Cette fois, elle portait un pantalon moulant en dessous et un chemisier Ă bretelles rouges par-dessus. Ses cuisses se montraient bien de son jean moulant. Je ne pouvais pas le supporter, mais cette fois je devais ĂȘtre un peu lourd. Il est venu vers moi et sâest assis. On Ă©tait juste en train dâavoir une conversation.
Il mâa mis sur le dos sur le siĂšge dans un moment auquel je ne mâattendais pas. Il sâest collĂ© Ă mes lĂšvres et nous avons commencĂ© Ă nous embrasser. CâĂ©tait comme si la fille rĂ©ticente de la veille Ă©tait partie et que quelquâun officiellement excitĂ© Ă©tait venu Ă sa place, et jâen Ă©tais heureux. Pendant que nous nous embrassions, il sâest assis juste sur mes genoux, jetant une jambe Ă lâautre. Ma bite touchait sa chatte, mais je ne pouvais pas sentir grand-chose, nous avions tous les deux un pantalon. Tugba Ă©tait un trĂšs bon embrasseur, il Ă©tait juste rĂ©ticent ce premier jour. Il a enlevĂ© le T-shirt que je portais et a commencĂ© Ă planter des baisers sur la partie supĂ©rieure de mon corps. Il est finalement venu dans mon ventre en mâembrassant. Il a enlevĂ© mon pantalon sans sâattarder trop longtemps. Il a pris ma bite dans sa main en posant mon boxer et lâa caressĂ© pendant un moment comme un 31e extracteur.
Et puis il a commencĂ© Ă embrasser mes couilles. Au fait, il tapotait ma bite vite et vite. DĂ©c. Jâaimais beaucoup ça et je ne savais pas que TuÄba avait de telles compĂ©tences. Finalement, ses lĂšvres sont venues Ă ma bite, il a lentement pris sa tĂȘte dans sa bouche et a commencĂ© Ă avancer, lĂ©chant Ă nouveau jusquâau milieu comme avant, mais cette fois il Ă©tait disposĂ©. Jâai commencĂ© Ă pousser en la tenant par les cheveux, mais elle nâaccĂ©lĂ©rait pas, elle avançait Ă son rythme. JâĂ©tais littĂ©ralement dans un sentiment de plaisir mĂȘlĂ© de douleur, je voulais que ça sâaccĂ©lĂšre davantage, mais ça nâarrivait pas.
Tugba a finalement lĂąchĂ© ma bite et sâest levĂ©. Il a enlevĂ© la fronde dessus. Il nây avait pas de sĂŒdyen dedans cette fois. Jâai immĂ©diatement embrassĂ© ses seins. JâĂ©tais vraiment excitĂ©e, je lâai immĂ©diatement assise sur mes genoux, ma bite touchait sa chatte directement Ă travers son pantalon. Ses seins Ă©taient complĂštement vivants et elle gĂ©missait. Je lâai soulevĂ© de mes genoux et lâai mis sur le dos sur le lit, jâai enlevĂ© son pantalon. Je nâai pas enlevĂ© ta culotte. Tugba, â Pourquoi ne lâenlĂšves-tu pas?âquand il a dit, jâai souri et immĂ©diatement accrochĂ© par sa culotte, le laissant nu en quelques secondes.
Son corps Ă la peau blanche se tenait nu devant moi. Quand jâai ouvert ses jambes, sa chatte glabre et glissante est apparue devant moi. Je me suis penchĂ© et jâai donnĂ© un petit coup de langue. Il gĂ©mit lĂ©gĂšrement. Jâai aussi commencĂ© Ă accĂ©lĂ©rer beaucoup ma langue. Tugba a Ă©galement commencĂ© Ă gĂ©mir plus fort. Il lui serrait les seins et lui mordait la lĂšvre. Jâai bien embrassĂ© la chatte du brigadier, mes lĂšvres Ă©taient sur les lĂšvres de sa chatte, ma langue y allait. Tugba Ă©tait extatique. Quand il a dit â âTu peux me baiserâ, les mondes sont devenus les miens, mais immĂ©diatement il a dit :â Juste sur mes fesses, pas touche Ă ma jeunesse!âdit-il. Alors jâai hochĂ© la tĂȘte dans le sens dâOK.
Jâai soulevĂ© le tugba et lâai tordu. Ses cuisses Ă©taient devant moi comme des citrouilles. Jâai immĂ©diatement commencĂ© Ă lĂ©cher son trou du cul. Je caressais son clitoris dâune main. Tugba a eu un orgasme aprĂšs un moment en criant. Alors jâai mis mon majeur dedans pour pratiquer le trou du cul. Alors quâil doigtait, ses muscles rĂ©trĂ©cis se relĂąchaient progressivement. Novembre. TuÄba, dâautre part, nâĂ©mettait aucun son autre que des gĂ©missements, parfois il semblait juste quâil marmonnait dĂ©cemment. Quand je mây suis habituĂ© Ă fond et que je lâai dĂ©tendu, jâai dit quâil Ă©tait temps de me mettre au travail, et jâai appuyĂ© ma bite contre le trou du cul avec beaucoup de turkuruk et lâai appuyĂ©e immĂ©diatement. DĂšs que sa tĂȘte est entrĂ©e, Tugba a poussĂ© un cri Ă©trange. Jâai ramassĂ© sa culotte par terre et je lâai fourrĂ©e dans sa bouche. En appuyant, jâentrais lentement dans ton cul. aprĂšs environ 4-5 minutes, ma bite Ă©tait toute dans ton cul.
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