LâaprĂšs-midi aussi, comme le portier Ă©tait en congĂ© le dimanche, je suis descendu moi-mĂȘme acheter du pain. Parce quâil faisait chaud, je portais des shorts et des peignes, et je ne portais pas de soutien-gorge non plus. En quittant lâappartement, jâai vu le portier et jâai dit en plaisantant: âĂcoute, tu donnes la permission, Mevlut abi, je vais acheter du pain moi-mĂȘme!Jâai dit. Le portier a dit: âSi tu me lâavais dit, je serais allĂ© lâacheter, ma sĆur, est-ce quâon va te casser!âelle a dit, mais elle nâa pas nĂ©gligĂ© de filtrer mes seins non plus. Jâai immĂ©diatement remis lâargent â â Allez, prends â le, allez!Jâai dit. âDâaccord, ma sĆur!âen disant cela, il est parti, et je suis remontĂ© Ă la maison.
Quand je suis entrĂ© dans la maison, lâidĂ©e mâest venue de me baiser au portier. Mais le portier Ă©tait un homme de 50 ans, pesant entre 95 et 100 livres, poilu partout, comme un ours. AprĂšs un peu de rĂ©flexion (Oh Flamme, tu y goĂ»teras aussi, serait-ce mauvais!) jâai dit. Jâavais dĂ©cidĂ© que jâallais me faire baiser par le portier, mais jâai commencĂ© Ă rĂ©flĂ©chir Ă la façon dont jâallais le faire. Je me suis retrouvĂ© Ă penser, jâallais excuser le robinet qui dĂ©goulinait dans la salle de bain et le laisser entrer. Je suis immĂ©diatement allĂ© aux toilettes, jâai enlevĂ© le nombre de culottes de soutien-gorge sales quâil y avait dans le panier sale et je les ai jetĂ©es.
Pendant ce temps, la cloche sonna. DĂ©c. Quand jâai ouvert la porte, le portier a dit: âTiens, ma sĆur!âil a dit:â Elle mâa tendu le pain. Jâai dit: âMerci, frĂšre Mevlut, mais jâai encore une demande de votre part!Jâai dit. âTiens, ma sĆur, quây a-t-il?âdit-il. Jâai dit: âLe robinet de la salle de bain continue de couler, sâil y a un mĂ©canicien ou quelque chose que vous connaissez, pourquoi ne lâapportez-vous pas?Jâai dit. Il a dit: âJe vais le prendre, ça vient du joint, laisse-moi prendre un joint de la maison avec une clĂ©!âdit-il. âDâaccord, allez, jâattends!âjâai dit et il est partiâŠ
il est revenu environ 10 minutes plus tard. Je lâai emmenĂ© aux toilettes. Quand il a vu mes sous-vĂȘtements traĂźner juste au moment oĂč il entrait dans la porte, il sâest arrĂȘtĂ©. âQuây a-t-il, frĂšre Mevlut?Jâai dit. Avalant, il a dit: âRienâŠâet est allĂ© Ă lâintĂ©rieur. De toute façon, il avait lâintention de partir aprĂšs avoir fait le robinet, mais jâai dit: âMevlut abi, la porte du placard dans la chambre nâarrĂȘte pas de tomber, vas-tu la regarder aussi?Jâai dit. Dâabord, il mâa regardĂ© dans les yeux, puis il a dit: âVoyons voir!âil a dit, il a compris que quelque chose allait se passer.
Je marchais avec une fissure sur le chemin de la chambre par lâavant, il me coupait dĂ©finitivement les cuisses. âCâest comme ça que tout tombe sâil nây a pas dâhommes dans la maison!âJâai dit, et jâai pointĂ© du doigt le placard et jâai reculĂ©. Pendant quâil sâoccupait du placard avec le dos tournĂ©, jâai quittĂ© la piĂšce, je me suis dĂ©shabillĂ© nu dans le couloir et jâai commencĂ© Ă attendre⊠âDâaccord, ma sĆur, je lâai fait, avez-vous une autre demande?âquand il a appelĂ©, il est entrĂ© et a dit:â Oui, jâai encore une demande!Jâai dit. Il sâest figĂ© quand il mâa vu comme ça. âJe veux que tu me baises!Jâai dit.
Il a avalĂ© et a dit: âMais soeurâŠâ. Jâai dit: âLĂąchez la soeur ou quelque chose comme ça, nâĂȘtes-vous pas un homme?âen disant cela, je suis allĂ© vers lui et je me suis accrochĂ© Ă ses lĂšvres. En embrassant ses lĂšvres, jâai senti une trĂšs belle odeur de savon sur mon nez, alors elle venait de prendre un bain, jâen Ă©tais trĂšs contente. Alors il a jetĂ© sa surprise, mâa allongĂ© sur le lit pendant quâil me tenait, et a commencĂ© Ă se dĂ©shabiller. Quand il a enlevĂ© sa chemise, sa poitrine Ă©tait couverte de poils. Quand il a enlevĂ© son pantalon puis a baissĂ© son pantalon long, mes yeux se sont ouverts comme une diseuse de bonne aventure et jâai dit: âWhoa, quâest-ce que câest!âun mot est sorti.
La bite de notre portier Ă©tait Ă moitiĂ© relevĂ©e et câĂ©tait comme une aubergine ou quelque chose du genre. âQuây a-t-il, ma sĆur, avez-vous peur? Câest la bite qui va te baiser!âil a dit et a commencĂ© Ă caresser sa bite. Et je nâai pas pu rĂ©sister et jâai dit: âAllez alors!Jâai dit. Il a tendu la main sur moi et sâest accrochĂ© Ă mes lĂšvres. JâĂ©tais littĂ©ralement perdu sous ça. Jâai tendu ma main dĂ©cemment et jâai touchĂ© sa bite, mais elle ne tenait pas dans ma main. Pendant un moment jâai pensĂ© Ă abandonner, mais ensuite (Ce qui sâest passĂ© sâest passĂ©, regardez votre plaisir!) Je me suis dit.
Il est Ă©galement descendu de mes seins vers ma chatte et a commencĂ© Ă me donner de tels coups de langue que je ne pouvais plus rester immobile. Soudain, je suis sorti en courant de dessous lui et jâai dit: âCâest mon tour, allonge-toi!Jâai dit. Il Ă©tait allongĂ© sur le dos, alors je suis allĂ© sur lui, jâai embrassĂ© ses lĂšvres, sa poitrine velue et jâai atterri sur sa bite. Jâai examinĂ© sa bite un peu Ă droite et Ă gauche, elle Ă©tait au moins aussi longue que mon bras et aussi Ă©paisse que mon poignet. En plus, il Ă©tait immaculĂ©, il nây avait pas un seul cheveu. âAs-tu nettoyĂ© ça pour moi?Jâai dit. Il a dit: âCâest pour toi, soeur!âdit-il.
Jâai commencĂ© Ă le lĂ©cher avec un sourire. AprĂšs avoir lĂ©chĂ© un peu, je suis passĂ© Ă la position 69 et jâai mis ma chatte dans sa bouche, et elle a commencĂ© Ă me lĂ©cher la chatte. Mais je ne pouvais pas lĂ©cher sa bite Ă cause du plaisir que jâavais, je me suis immĂ©diatement redressĂ© et me suis allongĂ© sur le lit et jâai mis mes jambes en lâair et jâai dit: âAllez, Mevlut, baise-moi maintenant!Jâai dit. âDâaccord, ma sĆur! en disant â il a mis mes jambes sur son Ă©paule, a commencĂ© Ă cracher sa bite abondamment et lâa mise dans ma chatteâŠ
Sa tĂȘte lui faisait trĂšs mal quand il est entrĂ© â â Sâil te plaĂźt, avance lentement, frĂšre Mevlut!Jâai dit. âDâaccord, ma sĆur!âil a arrĂȘtĂ© de dire. Mais avant que je puisse comprendre, ça sâest soudainement chargĂ©, alors jâai criĂ© dâagonie et jâai dit: âLaisse-moi ĂȘtre ta victime lentement, tu mâas dĂ©chirĂ© la chatte!âJâai littĂ©ralement commencĂ© Ă mendier. âDâaccord, ma sĆur, dâaccord! Nous nâen avons insĂ©rĂ© que la moitiĂ©, je vais insĂ©rer le reste lentement!âil a dit, et peu Ă peu ça a commencĂ© Ă aller et venir en moi. Ăa piquait un peu plus Ă chaque fois. Jâai Ă©tĂ© surpris de ce que jâai souffert de la douleur dâune part, et du plaisir dâautre part.
Finalement, il sâest penchĂ© vers moi et a dit â â Tu lâas compris, ma sĆur, tout est dans ta chatte en ce moment!âdit-il. Alors jâai immĂ©diatement serrĂ© son cou dans mes bras et lâai embrassĂ©e sur les lĂšvres. Il a laissĂ© tomber mes jambes dans ses bras et a commencĂ© Ă pomper ma chatte⊠Jây Ă©tais habituĂ© maintenant et je gĂ©missais de plaisir, mais il allait de plus en plus vite. Et jâai eu mon premier orgasme Ă ce moment-lĂ , jâai Ă©tĂ© officiellement Ă©jaculĂ© contractuellement. âLĂšve-toi, frĂšre Mevlut, laisse â moi monter au sommet!Jâai dit. âDâaccord, ma sĆur!âen disant cela, il sâest levĂ©, sâest allongĂ© sur le dos sur le lit. Je me suis immĂ©diatement mis sur lui et je me suis assis sur sa bite. JâĂ©tais habituĂ© au coq, et il a glissĂ© sous lâinfluence de mon Ă©jaculation et est entrĂ© en moi. Jâai commencĂ© Ă sauter dessus. Il caressait aussi mes seinsâŠ
Au bout dâun moment, je mâen suis levĂ© et je suis sorti du lit, jâai mis mes mains sur le lit et je me suis levĂ© et jâai dit: âAllez, Mevlut, passe derriĂšre moi!Jâai dit. âDâaccord, ma sĆur!âil est passĂ© derriĂšre moi, a enracinĂ© sa bite dans ma chatte et a commencĂ© Ă pomper⊠Je nageais Ă nouveau dans la mer de plaisir. La deuxiĂšme fois que jâai eu un orgasme, il a dit: âJâarrive, ma sĆur!â Je suis revenu Ă moi quand il a dit. Je me suis immĂ©diatement enfui de lui et je me suis accroupi par terre, jâai pris sa bite dans mes mains et jâai commencĂ© Ă le caresser, lui lĂ©chant la tĂȘte dâune part. Peu de temps aprĂšs, son sperme a commencĂ© Ă jaillir. Quand on me tapotait, ça jaillissait et câĂ©tait si intense que ma bouche, mon visage, mon cou, ma gorge, mes seins, tout Ă©tait couvert de sperme. AprĂšs en avoir lĂ©chĂ© les derniĂšres gouttes, je lâai laissĂ© et je me suis assis par terre, adossĂ© au lit en haletant. Il sâest Ă©galement allongĂ© sur le dos sur le lit sur le litâŠ
Quand je me suis reposĂ© et que je suis revenu Ă moi, je me suis levĂ©, je suis allĂ© aux toilettes et je suis passĂ© sous la douche. AprĂšs avoir nettoyĂ© le sperme sur moi, jâai mis mon peignoir et jâai quittĂ© la salle de bain. Quand je suis allĂ© dans ma chambre, il Ă©tait toujours allongĂ© et sa queue Ă©tait encore Ă moitiĂ© relevĂ©e. Je me suis demandĂ© sâil allait baiser un autre courrier, et jâai jetĂ© ma robe et jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la bite. Pendant que je me demandais sâil allait baiser un autre courrier, il mâa baisĂ© pour 2 courriers de plus⊠Puis il a pris une douche et sâest habillĂ© et a dit: âMerci, ma sĆur!âdit-il. JâĂ©tais comme, âJâattends toujours!âalors je lâai embrassĂ©e sur les lĂšvres et je lâai renvoyĂ©e. JâĂ©tais Ă©tonnĂ© de moi, jâai baisĂ© le mec comme un ours, et il mâa baisĂ© pendant 3 mails et mâa transformĂ© en passoire.
Ăa fait 1 an et le Decker me baise toujours. Je ne sais pas, mais sa femme a probablement compris quelque chose, elle me regarde mal. Quoi quâil arrive, peu importe sâil regarde, câest cet ours qui me baise le plus fort!
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