Quand je suis allĂ© Ă lâĂ©cole ce jour-lĂ , jâai eu une dispute avec ma copine, apparemment jâallais ĂȘtre seul pendant les festivitĂ©s. Vers le soir, ma tante a appelĂ© â â Si tu veux, viens chez nous ce soir et jette un coup dâĆil Ă lâordinateur que tu promets depuis si longtemps!âdit-il. Jâai secouĂ© cette entreprise informatique pendant longtemps. De toute façon, je mâennuyais dĂ©jĂ avec ma copine, ma tante, âDâaccord, je viens!Jâai dit. Je suis allĂ© chez ma tante vers 21h30. On a parlĂ© un peu de lâĂ©cole avec mon oncle ou quelque chose comme ça. Puis je suis entrĂ© dans la piĂšce en disant â â Laissez â moi regarder cet ordinateurâŠâ. Ma tante avait prĂ©parĂ© la chambre oĂč se trouvait lâordinateur pour moi, jâallais y dormir. Pendant que je montais lâordinateur, ma tante est entrĂ©e: âIl y a des lieux de rencontre lorsque lâon joue Ă des jeux sur le visageâŠâelle a dit. âDâaccord, je mâoccuperai dâelle aussi, tante!Jâai dit. Au fait, mon oncle a dit depuis la porte â â Allez, je vais me coucher, et ne te couche pas trop tard, on se lĂšvera tĂŽt demain! DĂ©c.âil a ditâ et est parti.
Ma belle-sĆur et moi avons une trĂšs bonne relation, elle ne me craindrait pas, elle ne sâembĂȘterait pas avec moi. DĂ©c. De toute façon, je nâagirais pas dâune maniĂšre qui vous dĂ©rangerait non plus. En fait, du point de vue de lâacheteur, ma tante est une louche, mesurant 1,65, assez sexy pour impressionner nâimporte quel homme avec de gros seins et des fesses. Ma belle-sĆur Ă©tait assise Ă cĂŽtĂ© de moi avec son short en dessous, sa chemise de nuit, mais câĂ©tait comme un bikini. Parce quâil Ă©tait lĂ©gĂšrement en surpoids, le short quâil portait reposait sur son corps et câĂ©tait officiellement Ă©vident partout.
AprĂšs que mon oncle se soit couchĂ©, ma tante en a sorti deux de ma cigarette, les a allumĂ©es toutes les deux, en a mis une dans ma bouche et a dit â â Non, jâai vu ton visage sombre, es-tu de mauvaise humeur?âdit-il. âOui, tante, jâai eu une dispute avec ma copine âŠâJâai dit, jâai expliquĂ© un peu. Ma belle-sĆur a dit â â Ne tâinquiĂšte pas pour ça, tu te rattraperas! En plus, tu es un beau garçon, il nây a pas dâautre fille pour toi? Serre ta main, cinquante, secoue tes cheveux, ficelle!âil a consolĂ© en disant. Au fait, lâordinateur sâĂ©tait amĂ©liorĂ©, âCâest bon dĂ©cembre, je vais me coucher!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Tu vas te coucher, je vais traĂźner au visage pendant un momentâŠâ. âEh bien!âJâai dit:â et je suis allĂ© me coucher. Quand ma belle-sĆur traĂźnait sur Internet, ma belle-sĆur a dit â â Oups!âune voix a criĂ©. Je nâavais pas encore dormi, jâai immĂ©diatement dit: âQuâest-ce qui sâest passĂ©, tante?â Je me suis levĂ© en disant. Il y avait une Ă©norme image dâun pĂ©nis sur lâĂ©cran. Câest lâune des publicitĂ©s classiques dâextension de pĂ©nis que nous connaissons. Ma tante a ri et a dit: âTante divine, lâavez-vous vu pour la premiĂšre fois, que criez-vous?Jâai dit. Ma belle-sĆur a ri: âNon, mais jâai Ă©tĂ© surprise quand elle est soudainement sortie⊠éteins-le avant ton oncle ou quelque chose comme ça, allez, je vais me coucher aussi!âil a dit, il est parti.
Le lendemain matin vers 06h00, mes pĂšres sont arrivĂ©s et sont partis avec mes oncles. AprĂšs leur avoir dit au revoir avec ma tante, nous sommes retournĂ©s nous coucher et avons dormi. AprĂšs avoir dormi quelques heures, ma tante a dit: âAllez, le petit dĂ©jeuner est prĂȘt!âil sâest rĂ©veillĂ© en disant. Je me suis levĂ©, je me suis habillĂ©, jâallais Ă lâĂ©cole. Nous avons pris un bon petit dĂ©jeuner avec ma tante. Alors que je partais, ma belle-sĆur a dit: âAllez, peut-ĂȘtre que tu te rĂ©concilieras avec ton amant! Ha, ne sois pas en retard ce soir, jâai peur!âil est parti. âDâaccord, tante!âJâai dit:â Je suis allĂ© Ă lâĂ©cole. Alors que jâespĂ©rais que nous nous rĂ©concilierions, le visage de ma copine vendait du vinaigre. Nous sommes allĂ©s au festival avec des amis, nous nous sommes amusĂ©s dans la salle de concert, avons bu des biĂšres, etc., nous avons eu la tĂȘte lĂ©gĂšre. Jâai reparlĂ© Ă ma copine, mais la situation Ă©tait toujours la mĂȘme.
Quand jâai regardĂ© mon tĂ©lĂ©phone, il y avait 3 appels manquĂ©s, tous de ma belle-sĆur. DĂ©c. Jâai appelĂ© ma tante, âJâarrive, tante!Jâai dit. Il Ă©tait 24h00, mon ami mâa conduit chez mes belles-sĆurs dans sa voiture. Quand ma belle-sĆur a ouvert la porte, elle portait encore ses vĂȘtements de la veille. Il ouvrit lĂ©gĂšrement la porte, jâentrai. âTu as faim?âdit-il. âNon, merci, tante!Jâai dit. Nous sommes allĂ©s dans le couloir et nous nous sommes assis. Ma belle-sĆur a dit: âNon, comment vas-tu, as-tu bu?âdit-il. Jâai dit: âNous avons traĂźnĂ© avec des amis, avons bu une biĂšre ou deuxâŠâ. âĂa se voit!âdit-il. âBelle-sĆur, as-tu de la biĂšre Ă la maison?Jâai dit. âNon, si tu viens le chercher, nous boirons ensemble, pendant que ton oncle est absent!âdit-il.
Je suis sorti sans aucune hĂ©sitation, jâai achetĂ© 6 biĂšres au buffet et je suis venu ici. Alors jâai changĂ©, nous nous sommes assis Ă nouveau, nous discutions et buvions des biĂšres. Alors que jâarrivais Ă la fin des troisiĂšmes bouteilles, lâincident dâhier mâest venu Ă lâesprit et jâai commencĂ© Ă rire. Ma belle-sĆur a dit â â Quâest-ce que câest, de quoi riez-vous?âdit-il. âTante, comme tu as criĂ© hier quand tu as vu la pub pour le pĂ©nis!Jâai dit. Ma belle-sĆur a Ă©galement ri â â Oh, que puis-je faire, jâai Ă©tĂ© surprise quand jâai soudainement vu cette Ă©norme chose!âdit-il. âIl nâĂ©tait pas grand du tout, tante, tout comme mon oncle!Jâai dit. Ma belle-sĆur a ri et a dit: âCombien plus aimerais-je que celui de ton oncle soit deux fois moins que le sien!âdit-il. La direction du sujet changeait, et nous commencions Ă parler sous lâinfluence des biĂšres. Tante, â Est-ce que la petite tante de mon oncle est vraiment?Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit: âEh bien, combien coĂ»te la vĂŽtre?âil a demandĂ©. Jâai aussi montrĂ© la bouteille de biĂšre et jâai dit: âJe ne lâai pas mesurĂ©e, mais elle a au moins cette longueur, tante!âJâai dit et jâai ri.
Ma belle-sĆur a dit â â Whoa! Ne le jetez pas!âdit-il. âRegardez si vous nây croyez pas!Jâai dit. âAllez, allez, je vais jeter un Ćil!âdit-il. Je me suis levĂ© et je me suis tenu devant le siĂšge oĂč ma belle-sĆur Ă©tait assise. Ma belle-sĆur a enlevĂ© le bas de mon survĂȘtement avec ma mallette boxer. JâĂ©tais choquĂ©, je pensais que ma belle-sĆur ne pouvait pas le faire, mais elle lâa fait. Quand ma belle-sĆur a vu ma bite, ses yeux se sont ouverts comme une diseuse de bonne aventure â â Yuhh, quâest-ce que câest? Tu as empruntĂ© ça Ă un Ăąne?âil a pris ma bite dans sa main, en disant. Avec les mots quâil a prononcĂ©s, mes sentiments de masculinitĂ© se sont gonflĂ©s, je me suis penchĂ© et me suis accrochĂ© aux lĂšvres de ma belle-sĆur. Je suçais ses lĂšvres, ma belle-sĆur ne rĂ©sistait pas. Et ma bite Ă©tait toujours dans sa main. Ma belle-sĆur sâest dĂ©barrassĂ©e de mes lĂšvres et a embrassĂ© ma bite, âJe vais manger ça!âil lâa pris dans sa bouche en disant. Il lĂ©chait avec un tel appĂ©tit, jâallais jouir juste lĂ . âTante, ralentisâŠâJâai dit, lâai attrapĂ©e par le bras et lâai tirĂ©e sur ses pieds. Nous avons Ă©tabli un contact visuel, il sâest immĂ©diatement collĂ© Ă mes lĂšvres, nous avons commencĂ© Ă nous embrasser deboutâŠ
Dâun cĂŽtĂ©, je volais ma belle-sĆur. Jâai dâabord dĂ©collĂ© son haut et rĂ©vĂ©lĂ© ses Ă©normes seins. Je suçais les gros seins de ma tante comme une folle. Sa peau sentait bon, et pendant quâelle suçait, ses seins avaient lâimpression de klaxonner. Ma belle-sĆur a dit â â Je transpire, hein!âil a enlevĂ© lui-mĂȘme son short et sa culotte en disant. Je me suis dĂ©shabillĂ© en un clin dâĆil, nous Ă©tions tous les deux nus maintenant. Jâai allongĂ© ma tante sur le canapĂ©, embrassĂ© son cou, sa gorge, ses seins, embrassĂ© sa chatte. Ami, je me suis mouillĂ© avant mĂȘme de le toucher. Jâai Ă©cartĂ© les poils de sa chatte et jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte. Je le lĂ©chais pour en profiter. Ma belle-sĆur a commencĂ© Ă gĂ©mir, enfonçant ma tĂȘte dans sa chatte, comme si elle allait me prendre la tĂȘte dedansâŠ
AprĂšs avoir lĂ©chĂ© pendant quelques minutes, ma belle-sĆur a eu un orgasme en hurlant et en hurlant. âOufff, tu mâas fini! Allez, rentre en moi!âil me tirait par-dessus en disant. En fait, jâaurais pu lĂ©cher la chatte de ma tante pendant des heures, câĂ©tait dĂ©licieux. Mais je ne pouvais pas briser ma tante, jâai arrĂȘtĂ© de lui lĂ©cher la chatte et je me suis levĂ©. Ma belle-sĆur avait les jambes Ă©cartĂ©es, attendant que jâinsĂšre ma bite. Jâai dĂ©campĂ© entre ses jambes et jâai doucement plongĂ© ma bite dans sa chatte. Ma belle-sĆur, comme si elle perdait sa virginitĂ©, a dit ââ Vas-y doucement, laisse-moi ĂȘtre ta victime, habitue-toi!âil disait. La bite de mon oncle devait ĂȘtre vraiment petite, car malgrĂ© le nombre dâannĂ©es de mariage, la chatte de ma belle-sĆur Ă©tait aussi serrĂ©e que la chatte de mon amantâŠ
Jâavais finalement trouvĂ© le fond avec difficultĂ©. Ma belle-sĆur a enroulĂ© ses jambes autour de ma taille et mâa serrĂ©e contre elle pour que je ne bouge pas. Et il nâarrĂȘtait pas de dire: âRalentis, je serai ta victime!âil disait. Jâallais ĂȘtre lent, mais jâĂ©tais presque sur le point de jouir quand jâĂ©tais dedans sans baiser du tout. Je nâen pouvais plus, jâai libĂ©rĂ© ses jambes de ma taille, je lâai prise sur mon Ă©paule et jâai commencĂ© Ă lui pomper la chatte. Jâai attrapĂ© lâentrejambe de ma belle-sĆur si fort que ma belle-sĆur a dit â â Ralentis!âsans prĂȘter attention Ă ce quâils disent, je vais vite et vite. Pendant que je baisais ma copine pendant au moins une demi-heure et que jâĂ©jaculais comme ça, jâĂ©tais sur le point de jouir tout de suite en baisant ma belle-sĆur. âTante, jâarrive!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Jouis en moi, mec!âquand il a dit:â Jâai commencĂ© Ă gicler mon sperme. Et comme je suis venu, je suis venu. Quand les derniĂšres gouttes coulaient dans la chatte de ma tante, jâai dit: âTu es gĂ©niale, tante!âJâai dit, et je me suis accrochĂ© Ă ses lĂšvres. Quand je suis tombĂ© sur ma belle-sĆur, nous Ă©tions tous les deux surpris, mais nous aimions çaâŠ
Jâavais faim. On sâest levĂ©s ensemble, on est allĂ©s nus Ă la cuisine chercher quelque chose Ă manger. Pendant que nous mangions nos sandwichs prĂ©parĂ©s par ma tante, ma tante se plaignait Ă mon oncle â â Nous nâavons pas eu de relations sexuelles avec votre objectif depuis longtemps!âparce que. Et jâai dit: âFuck lâeuroad dâun homme qui ne baise pas une femme comme toi!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Tu as baisĂ© le cul de lâhomme, tu as dĂ©jĂ dĂ©truit sa chatte!âil a dit:â nous avons ri. Jâai toujours aimĂ© les jambes de ma belle-sĆur avec des chaussettes. âTante, jâen avais marre de tes chaussettes, mets â en une!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit ââ Je ferais nâimporte quoi pour toi, mon amour!âdit-il.
Quand nous avons fini nos sandwichs, nous sommes allĂ©s dans la chambre. Je me suis allongĂ©e sur le lit, pendant que ma belle-sĆur enfilait ses collants bronzĂ©s brillants comme si elle faisait un spectacle devant moi. JâĂ©tais tellement excitĂ©, ma bite est instantanĂ©ment devenue comme une pierre. Ma belle-sĆur est Ă©galement venue au lit, sâest allongĂ©e sur moi et nous avons commencĂ© Ă nous embrasser. Je caressais le cul de ma belle-sĆur, gĂąchant le plaisir de la chaussette. Ma belle-sĆur est ensuite descendue vers ma bite en mâembrassant. Il Ă©tait allongĂ© sur le lit Ă quatre pattes en train de lĂ©cher ma bite.
Mon regard se posa sur le miroir de lâarmoire. La vue du miroir Ă©tait si sexy que jâai dit: âTante, reste comme ça!âJe suis sorti du lit en disant. Je me suis mis derriĂšre ma tante, qui Ă©tait Ă quatre pattes, et jâai fait un trou dans la partie trou du cul du collant. Jâai crachĂ© ma bite, lâai mise sur le cul de ma belle-sĆur et je me suis chargĂ©e. Juste au moment oĂč ma bite mâest tombĂ©e sur la tĂȘte, ma belle-sĆur a dit â â Je suis brĂ»lĂ©e, maman!âil a couru en avant, en disant. âQuây a-t-il, tante?Jâai dit. âPas Ă partir de lĂ , ton oncle ne lâa jamais fait Ă partir de lĂ !âdit-il. Jâai Ă©tĂ© surpris â â Wow, mon stupide oncle, wow! Ce putain de cul ne se fait-il jamais baiser, regarde la beautĂ© de ça, abeille!âalors jâai attrapĂ© la crĂšme pour les mains qui se tenait sur la table de chevet. âTante, ça ne fera pas de mal si on la crĂšme, nâaie pas peur!Jâai dit. Jâen ai frottĂ© sur ma bite et dâautres sur le cul de ma belle-sĆurâŠ
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