Video Player
00:00
00:00
Je suis Kemal, laissez-moi vous raconter une histoire.de vraies histoires de sexe de lâarmĂ©e que je partageais avec mes frĂšres, notre dialogue Ă©tait comme un ami, jâavais 18 ans, ma tante en avait 31, mon pĂšre Ă©tait un alcoolique de 44 ans, il est toujours comme ça, il est gĂ©nĂ©ralement hors de la ville, il rentre Ă la maison, il fuit dĂšs quâil voit quelque chose de lâalcool, je
Je nâĂ©tais pas entrĂ©, alors jâĂ©tais trĂšs curieux de connaĂźtre la femelle body.my belle-sĆur habillĂ©e confortablement Ă la maison, rien de mal ne lui serait venu Ă lâesprit, mais je ne pouvais rien dire pour me remettre de ce quâelle Ă©tait, et parfois nous dormions mĂȘme dans le mĂȘme room.my le dĂ©sir pour lui augmente de jour en jour, je ne pouvais pas supporter les confessions sexuelles qui se sont produites 9 Je plaisantais avec lui, jâĂ©tais toujours en contact Ă©troit avec son numĂ©ro, puis je tirais 31.un jour il sera choquĂ© par mes actes, il mâa demandĂ© pourquoi jâagissais ainsi envers lui, je nâai pas rĂ©pondu, quelques jours plus tard mes neveux dormaient, nous discutions, pendant la conversation il a posĂ© Ă nouveau la mĂȘme question, et jâai dit que mon Ăąme sâĂ©tait rĂ©veillĂ©e vers lui il mâa dit dans le bon sens quâil ne voulait plus lâentendre, mais la relation avec abible nâĂ©tait pas bonne, je lâai entendu le dire Ă son ami, mais il est allĂ© dans la salle de bain une nuit, est restĂ© longtemps, a regardĂ© Ă travers le trou de Confession sexuelle de la clĂ© secrĂšte, Jâai vu quâil essayait de se satisfaire, ça mâa rendu fou, câĂ©tait dimanche le lendemain, et il le contactait de la mĂȘme maniĂšre, je devenais fou quand jây pensais, et il mâa dit que si tu rĂ©pĂ©tais encore ça, je le dirai Ă ton frĂšre, je lâai mis dans ma tĂȘte, jâallais y aller pour le tuer.ce soir-lĂ , mes neveux dormaient, je me suis assis Ă cĂŽtĂ© de lui, jâai exprimĂ© mes sentiments pour lui, et une fois dans cette demande jâai dit que je serais retrouvĂ©, elle a dit non, jâĂ©tais en colĂšre, il mâa fallu mâaccrocher Ă ses lĂšvres avec mon
il essayait de sâenfuir, il se tortillait, et il mâa giflĂ©, trouvant une opportunitĂ©, ça mâa rendu plus en colĂšre, ne laisse pas les filles, je lâai traĂźnĂ© dans ma chambre, poussĂ© contre le mur, embrassĂ© ses seins, essayĂ© dâapporter du plaisir, il suppliait et essayait dâĂȘtre boxĂ©, il suppliait pour du travail, il avait une chemise de nuit, il avait son poids, je voulais lui lĂ©cher la chatte, mais je ne pouvais pas, je devais faire mon travail le plus tĂŽt possible, jâai mis ma bite sur sa chatte, lui ouvrant la jambe, il nâest jamais entrĂ©, il mâa quand mĂȘme suppliĂ©, sâil te plait ne disait-il pas bikimit, jâai rĂ©essayĂ© en lui mordant le fond de la gorge je suis devenu violet Ă la fin, jâai atteint mon objectif et je lâai collĂ© dans ma chatte chaude, je ne lâavais jamais fait auparavant, câĂ©tait une sensation formidable, il me suppliait de ne plus jouir en moi, il pleurait, jâai Ă©jaculĂ© dans un court ornement, mais ma cornĂ©e 5 minutes plus tard, jâai sorti ma bite de sa bouche, soudainement mordu ma bite, câĂ©tait ennuyeux, il disait toujours laisse-moi partir, je lâai tournĂ© sur le cĂŽtĂ©, jâai Ă©cartĂ© sa jambe et rĂ©pĂ©tĂ©, baisĂ© ma tante, je vais dâavant en arriĂšre, il ne rĂ©sistait plus, ce qui mâa fait que ce nâĂ©tait pas le cas donnant du plaisir, je lui ai dit que je voulais lui baiser le cul, et je lâai allongĂ© sur le dos, je poussais, me battais pour ĂȘtre lu ça a commencĂ©, mais il nây avait aucune chance de sâen dĂ©barrasser, jâallais baiser ce cul, il sâest dĂ©barrassĂ© de moi un instant, je lâai attrapĂ© Ă nouveau, et je lâai jetĂ© dans mon cul, je lâai retournĂ©, jâĂ©tais maintenant sous ma bite de cul, mais câĂ©tait trĂšs difficile, jâai coincĂ© la tĂȘte de ma bite dans son trou, il a criĂ© douloureusement, ça fait trĂšs mal, ça me rendait fou, et il pleurait, et je me suis Ă©nervĂ© sans Ă©couter, je voulais que la fille me fasse mal, et câest arrivĂ© quand je voulais, il nâarrĂȘtait pas de pleurer, accĂ©lĂ©rant mes mouvements, Jâai complĂštement coincĂ© ma bite dedans, je lâapprĂ©ciais tel quel et au bout dâun moment je suis venu comme un fou, câĂ©tait gĂ©nial, cette nuit-lĂ il est restĂ© Ă©veillĂ© jusquâau matin, et je lâai fait deux fois de plus mon cul nâest pas dans la rue depuis deux jours, puis les dĂ©veloppements se poursuivront