La femme de mon frĂšre Cemal, tante Leyla, a 32 ans, mesure 1,60 et pĂšse environ 60 livres, une belle femme Ă la chair de poisson, hijab, mais vĂȘtements serrĂ©s, gros seins de son chemisier, rond Ă©rigĂ© et hanches rebondies de sa jupe, qui montre ses contours longs mais corporels. Comme je lâai dit, jâai remarquĂ© mon intĂ©rĂȘt soudain pour ma tante, que je nâavais jamais regardĂ©e dâun mauvais Ćil auparavant. Je rĂȘve de lui (mĂȘme si je suis mariĂ©!) Jâai commencĂ© Ă filmer Ă 31 ans. Je devenais fou en rĂȘvant que je lĂ©chais la chatte de ma belle-sĆur et que je baisais son cul, et je baisais ma femme avec cette intention.
Jâai dĂ©cidĂ© de montrer mon intĂ©rĂȘt pour tante Leyla. Il a fallu un processus de test de 6 mois avec mon regard. Jâai continuĂ© Ă tester en lui tapotant la main tout en lui donnant du thĂ© et du cafĂ©, il nây avait aucune rĂ©action nĂ©gative. La derniĂšre fois que jâĂ©tais chez eux, je suis allĂ© dans la cuisine pour fumer. Ma tante est venue Ă la cuisine pour mettre du thĂ©, jâai saisi cette opportunitĂ© et jâai fait le grand test, je suis arrivĂ© derriĂšre elle et je lui ai frottĂ© la cuisse. Ma tante sâest retournĂ©e et a regardĂ©, est entrĂ©e sans rien dire. Quand ma cigarette Ă©tait finie, je suis aussi allĂ© Ă lâintĂ©rieur, je me suis assis, je regardais constamment ma belle-sĆur. Ma belle-sĆur me regardait aussi avec des regards Ă©vasifs. Je suis rentrĂ© chez moi ce soir-lĂ heureux et excitĂ©.
Deux jours plus tard, câĂ©tait lundi, jâai appelĂ© la maison de mon frĂšre au tĂ©lĂ©phone vers 10h00 du matin. Je savais que mon frĂšre travaillait et que les enfants Ă©taient Ă lâĂ©cole. Ma belle-sĆur a rĂ©pondu au tĂ©lĂ©phone â â Tiens, frĂšre, que sâest-il passĂ©? Jamal travaille, si tu dois dire quelque chose, il viendra vers 18 heures!âdit-il. âJe sais, ne puis-je pas appeler ma belle-sĆur et lui poser des questions sur son Ă©tat?Jâai dit. âSâil te plait mon frĂšre, cette attitude de ta part nâest pas du tout juste, oublions ça, je ne peux lâaccepter!âdit-il. âQuoi, tante?âDis-je, comme sâil ne comprenait pas. Ma belle-sĆur a dit â â Je parle de ton apparence, de tes touches et de tes mouvements lâautre soir depuis longtemps! Ne me fais pas ça, je vais me retrouver dans une situation difficile!âdit-il. âJe ne comprends rien, tante, parlons-en, il y a quelque chose qui ne va pas!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit ââIl nây a rien Ă dire, Ă©teignons-le, sâil te plaĂźt!âdit-il. âNon, je viendrai Ă midi quand les enfants iront Ă lâĂ©cole aprĂšs le dĂ©jeuner, on parlera! jâai dit â et jâai raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone.
Je suis allĂ© chez eux vers 14h00 et jâai appuyĂ© sur la cloche. Je nâen croyais pas mes yeux quand tante Leyla a ouvert la porte. Quelle abstinence est-ce, quelle choucroute est-ce! Les cheveux de ma belle-sĆur Ă©taient clairs, et il Ă©tait Ă©vident dâaprĂšs lâhumiditĂ© de ses cheveux quâelle venait de prendre un bain. Ma tante, qui sâhabille toujours couverte, portait une chemise avec une jupe dĂ©colletĂ©e au-dessus du genou, dĂ©corĂ©e, en lambeaux, du parfum sây glissait et un maquillage lĂ©ger. Je suis entrĂ©, jâai fermĂ© la porte et je lâai immĂ©diatement plaquĂ©e contre le mur Ă cĂŽtĂ© de la porte et jâai dit: âTu le veux aussi! Je ne vais pas dâici Ă lĂ sans te baiser une fois!âJe me suis accrochĂ© Ă ses lĂšvres. Ma belle-sĆur a essayĂ© de sâopposer, a rĂ©sistĂ©, mais Ă la fin elle sâest laissĂ©e aller dans mes bras, elle mâa rĂ©pondu. Nous nous sommes mangĂ©s lĂ -bas. Se dĂ©shabillant lentement dans le couloir, il mâa attrapĂ© par la main et mâa tirĂ© dans la chambreâŠ
Dans la chambre, jâai Ă©galement enlevĂ© le dernier vĂȘtement qui nous restait et Ă©tendu ma tante sur le lit. Jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher les seins, jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher le ventre, puis jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte. Alors que je lĂ©chais sa chatte, ma belle-sĆur a dit: âAllez, belle-mĂšre lion, je brĂ»le, baise la chatte de ta belle-sĆur!âil gĂ©missait et jetait sa tĂȘte Ă droite et Ă gauche. Quand lâeau de ta chatte a commencĂ© Ă entrer dans ma bouche, jâai dit: âAllez, va te faire foutre!âil mâa arrĂȘtĂ© en disant. Quand je me suis installĂ© entre les jambes et que jâai enracinĂ© ma bite dans sa chatte, elle a dit â â Aahhy, oy Dec, oui, câest ça, je suis courageux avec la racine, mets tes couilles aussi!âen disant, il me serrait la taille et me pressait contre lui, volant de plaisir. Je tirais lentement ma bite jusquâau bout et la replongeais durement, faisant gĂ©mir ma tante. Chaque fois que je le mets dedans, jâai un grand plaisir et je dis: âOui, câest ça, mets-le dedans, mon amour, droguĂ© aux larmes!âil embrassait mon cou et me lĂ©chait la gorge. Il nâa jamais fermĂ© les yeux, on baisait en se regardant dans les yeux. Il semblait que du feu sortirait de ses yeux. Ses globes oculaires, brillants du plaisir quâil recevait, Ă©taient devenus deux fois plus grands, il montrait son dĂ©sir et sa luxure en me regardant en grandâŠ
Jâai baisĂ© ma belle-sĆur dans cette position en la pompant fort pendant environ 10 minutes. Notre sueur avait collĂ© nos corps ensemble. âVeux-tu que ce soit plus dur, tante, si tu veux, je vais enfoncer le clou!Jâai dit. Ma belle-sĆur a immĂ©diatement dit â â Jâaimerais bien, mais je ne sais pas comment ça se fait que tu appelles clouer!âdit-il. Je suis sorti du lit, â Mets-toi par terre, tante, mets-toi en position de chien sur le tapis, baisse la tĂȘte, mets bien ton cul en lâair!Jâai dit. Ma belle-sĆur a immĂ©diatement fait ce que jâai dit, son cul de chatte sâest levĂ© en lâair devant moi.
Debout, jâai dĂ©couplĂ© mes jambes et rapprochĂ© ses hanches, pliĂ© ma bite et lâai enfoncĂ©e dans sa chatte avec mes derniĂšres forces. JâĂ©tais plus Ă lâaise dans cette position, debout avec ma main appuyĂ©e contre le mur, pompant. Ma belle-sĆur Ă©tait dans une situation difficile, mais elle Ă©tait Ă quatre coins du plaisir, elle sâen fichait. Quand jâai enracinĂ©, son visage frottĂ© contre le sol, il Ă©tait Ă©puisĂ© et Ă©puisĂ© de garder son cul en lâair, mais il obtenait le plaisir qui valait tout cela. âMa belle-mĂšre lion, mon homme, allez, trouve le fond de la chatte de ta tante, enracine-le, mets tes couilles aussi!âil disait des choses provocantes et mâexcitait. Alors que jâenracine sa chatte, mon entrejambe frappe ses cuisses, je crie de mon entrejambe en sueur â â Claque, claque, claque! âpendant que le son arrivait, la chatte bien arrosĂ©e de ma tante criait aussiâ LiĂšge, liĂšge, liĂšge! âil y avait des bruits qui sortaientâŠ
aprĂšs avoir baisĂ© pendant environ 15 minutes, ma bite a presque explosĂ©. âBelle-sĆur, je suis sur le point dâĂ©jaculer, quâest-ce que tu prĂ©pares?âJâai demandĂ©. Ma belle-sĆur a dit â â Continue de baiser, mon amour, je suis proche, jây suis presque, allez, ne tâarrĂȘte pas!âdit-il. AprĂšs avoir pompĂ© encore quelques fois, ma belle-sĆur a dit: âAyyyhhh, oyyyhhh, ayyyshh, Jâai fini, ay mon amour, ok je suis lĂ , offfff!âil est restĂ© contractĂ©, en disant. Il respirait profondĂ©ment par le nez. Il Ă©tait fatiguĂ©, il nâavait plus la force de tenir son cul en lâair, il se laissa aller, il sâallongea face contre terre.
Et je me suis levĂ© avec une bite comme un pieu Ă la main â â Alors, je nâai pas encore Ă©jaculĂ©, tante?Jâai dit. Ma belle-sĆur sâest allongĂ©e sur le cĂŽtĂ© et a dit â â Dâaccord, mon amour, laisse-moi respirer une minute, je vais me vider de toi, allonge-toi Ă cĂŽtĂ© de moi!âdit-il. Je me suis allongĂ© Ă cĂŽtĂ© de lui, nous nous sommes Ă©treints. Ma belle-sĆur mâa embrassĂ© les lĂšvres et mâa dit: âTu mâas ruinĂ©, salaud, tu mâas amenĂ© exactement trois fois!âquand il a dit, jâai ri: âTu ne voulais pas au dĂ©but, quâest-ce qui sâest passĂ©, salope?Jâai dit. Et ma belle-sĆur a dit â â Tais-toi, salaud, je vais lâenvoyer avant quâil ne soit vidĂ©, regarde!âil a ri en disant. Puis il sâest allongĂ© sur le dos et a dit: âViens dĂ©canter entre mes seins!âil a dit et lui a pincĂ© les seins avec ses mains. Je suis montĂ© sur ma belle-sĆur, jâai coincĂ© ma bite entre ses seins, il ne mâa pas fallu longtemps pour jouir en marchant dâavant en arriĂšre comme un baiseur de chatte. DĂ©c. Entre ses seins et la rĂ©gion du cou et de la gorge est devenue dĂ©trempĂ©e avec mes dĂ©coctions. Ma belle-sĆur a lĂąchĂ© les seins quâelle tenait et a dit â â Allonge â toi sur moi, mon amour!âil a dit, il a frottĂ© mon sperme sur son corps comme de la crĂšme avec sa main. Je me suis allongĂ© dessus, on sâest un peu embrassĂ©s, on a parlĂ©âŠ
Quand ma belle-sĆur a eu du mal Ă respirer sous mon poids, je me suis levĂ© dâelle, je lâai attrapĂ©e par la main et jâai levĂ© ma belle-sĆur sur ses pieds. Nous avons pris une douche ensemble, sĂ©chĂ© et sommes partis. Je me suis assis sur le lit, ma belle-sĆur Ă©tait assise Ă cĂŽtĂ© de moi. Serrant ma taille et posant sa tĂȘte sur ma poitrine, il a dit ââ Je suis mariĂ© Ă ton frĂšre depuis 12 ans, il a Ă©tĂ© le seul homme de ma vie. Mais aujourdâhui, jâai rĂ©alisĂ© que je nâavais jamais Ă©tĂ© baisĂ© jusquâĂ prĂ©sent. Si on a fait cette merde avec toi, ne reste pas avec moi une fois, baise-moi tout le temps, dâaccord, chĂ©rie?âdit-il. Il a caressĂ© les cheveux de ma belle-sĆur et a dit â â Dâaccord, mon amour!Jâai dit.
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