Mon union avec cette veuve avait Ă©tĂ© lâĂ©vĂ©nement qui avait guidĂ© ma vie sexuelle, jâavais toujours basĂ© mes relations sur le sexe, jâavais vĂ©cu une vie loin des concepts dâamour et dâaffection. Ma prĂ©fĂ©rence sexuelle Ă©tait pour les femmes mĂ»res, elles comprenaient la situation, elles savaient ce quâelles voulaient et, surtout, le fait que je pouvais mettre fin Ă ma relation quand je le voulais Ă©tait la raison de cette prĂ©fĂ©rence. Je restais Ă lâĂ©cart des femmes de mon voisinage immĂ©diat, et en particulier des femmes mariĂ©es, pour quâelles nâaient pas dâennuis avec moi.
La raison pour laquelle jâai vĂ©cu une telle vie Ă©tait basĂ©e sur un Ă©vĂ©nement douloureux. LâannĂ©e oĂč jâallais commencer le collĂšge, jâai perdu mes parents dans un accident de voiture, et aprĂšs cet incident douloureux, jâai commencĂ© Ă vivre avec mon oncle et ma tante, qui sâoccupaient de moi. Mon oncle et ma tante Ă©taient des gens confortables selon ma famille. Mon oncle Ă©tait un homme qui gagnait beaucoup dâargent, buvait constamment, rentrait ivre Ă la maison. Ma tante Ă©tait une femme qui sâhabillait magnifiquement et confortablement et mangeait lâargent de mon oncle. Surtout ĂȘtre dans la mĂȘme maison avec une femme belle et confortable comme ma belle-sĆur a ajoutĂ© de la couleur Ă mon adolescence, et aprĂšs avoir terminĂ© lâuniversitĂ© puis le service militaire, jâai commencĂ© Ă vivre seulâŠ
GrĂące Ă mon oncle, il nâa rien fait ou deux sans me sĂ©parer de sa fille, et surtout, pour mon avenir, aprĂšs la mort de mon pĂšre, il a vendu ce qui restait de mon pĂšre et achetĂ© 4 taxis commerciaux. Jâai appris tout cela quand jâai eu 18 ans. AprĂšs lâarmĂ©e, jâai commencĂ© Ă travailler dans un bureau de conseil financier. Jâai continuĂ© Ă travailler dans ce bureau jusquâĂ lâĂąge de 29 ans, et pendant ce temps, jâai Ă©galement reçu mon certificat de conseiller financier. Maintenant, jâĂ©tais fatiguĂ© de travailler au bureau, jâai quittĂ© mon emploi pour trouver un travail confortable et non fatiguant pour moi-mĂȘme, jâai commencĂ© Ă chercher un emploiâŠ
CâĂ©tait les mois dâĂ©tĂ©, et Ă ce moment-lĂ , je cherchais un emploi, la fille de mon oncle avait un mariage. La fille de mon oncle avait 3 ans de moins que moi et allait Ă©pouser le fils dâune riche famille dâAntalya, quâelle a rencontrĂ© Ă lâuniversitĂ©. Nous sommes tous allĂ©s Ă Antalya ensemble pour le mariage, nous sommes arrivĂ©s Ă lâhĂŽtel que la famille du mariĂ© avait arrangĂ© pour nous. Le mariage devait avoir lieu Ă lâhĂŽtel oĂč nous logions. Nous Ă©tions entrĂ©s dans lâhĂŽtel le samedi, nous nous sommes reposĂ©s ce jour-lĂ , nous nous sommes levĂ©s tĂŽt le lendemain matin et avons commencĂ© Ă nous prĂ©parer. Tout au long de la journĂ©e, mon oncle, ma tante et leurs filles ont eu un rush de prĂ©paration. Je les suivais aussi Ă distance, les aidant sâil y avait quelque chose que je pouvais faire. Quand lâheure du mariage a approchĂ© le soir, je me suis prĂ©parĂ© et je suis descendu dans le couloir, mes yeux ont Ă©tĂ© attirĂ©s par ma tante. Ma belle-sĆur Ă©tait en Ă©tat de rendre jalouses les jeunes filles avec sa tenue une piĂšce avec un dĂ©colletĂ© profond et une jupe qui pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un mini, beau maquillage. Le premier moment oĂč jâai vu ma tante dans le couloir, le bon vieux temps mâest revenu Ă lâespritâŠ
AprĂšs lâarmĂ©e, mon oncle ne voulait pas que jâaille dans une maison sĂ©parĂ©e, il a insistĂ© pour que je continue Ă vivre avec eux. La raison de mon dĂ©part Ă©tait Ă©videmment ma tante, sa proximitĂ© avec moi et ses vĂȘtements extrĂȘmement confortables. Ma tante portait toujours des mini-vĂȘtements Ă la maison, se promenait dans sa chemise de nuit le matin, sâasseyait devant moi avec une serviette qui laissait la majeure partie de son corps exposĂ©e sans faire attention Ă moi quand elle sortait de la salle de bain. Peut-ĂȘtre que ma tante me considĂ©rait comme son fils, mais cette situation, qui mâa fait plaisir Ă lâadolescence, mâa amenĂ© Ă avoir des sentiments diffĂ©rents envers ma tante, surtout Ă lâUniversitĂ©, alors jâai commencĂ© Ă vivre seul pour me dĂ©barrasser de cette situationâŠ
Le mariage a commencĂ©. Nous Ă©tions assis Ă la table qui nous Ă©tait rĂ©servĂ©e avec moi, mon oncle et ma tante. On ne connaissait personne. Mon oncle boit comme de lâeau, ma tante et moi surveillons les environs, ma tante me montre de temps en temps des filles convenables et me dit: âCâest une trĂšs belle fille, elle te va dĂ©cemment!âil traĂźnait avec moi en disant:â. Quand la musique de Danse lente a commencĂ© Ă jouer, ma tante a dit Ă mon oncle â â Dansons!âquand mon oncle a dit:â Laisse-moi tranquille, si tu veux danser, Danse avec Serdar!âil mâa lancĂ© le ballon en disant. Et ma tante mâa dit â â On danse?âquand il a demandĂ©, je ne pouvais pas briser ma belle-sĆur et nous sommes allĂ©s sur la piste.
Ma tante et moi dansions au loin au dĂ©but. Ma belle-sĆur a dit Ă un moment donnĂ©: âIl y a tellement de belles filles ici, pourquoi ne regardez-vous personne? DĂ©c.âau lieu de dire:â Belle-sĆur, je danse avec la plus belle femme du hall!âma rĂ©ponse a poussĂ© ma belle-sĆur Ă se mettre vraiment en moi. Les gros seins de ma tante appuyaient sur mon corps, ses jambes touchaient mes jambes et jâĂ©tais excitĂ© de voir ses seins qui semblaient sortir quand je regardais. Ma bite Ă©tait Ă©galement indiffĂ©rente Ă cette situation et est devenue dure comme une pierre. Quand ma tante a ressenti cette situation, elle mâa regardĂ©, a souri gentiment et sâest appuyĂ©e contre moi Ă fond, comme si elle voulait sentir encore mieux ma bite.
Une fiĂšvre mâavait envahi, dâune part jâapprĂ©ciais beaucoup, dâautre part jâĂ©prouvais la peur que quelquâun voie. Heureusement, il y avait une atmosphĂšre tamisĂ©e dans la salle et la danse Ă©tait terminĂ©e avec la musique se terminant, jâai rapidement fermĂ© le bouton de ma veste et je suis passĂ© Ă table avec ma tante. Quand nous avons dĂ©mĂ©nagĂ© Ă notre table, ma tante est entrĂ©e dĂ©cemment en moi, elle a commencĂ© Ă toucher sa jambe Ă ma jambe constamment, mettant sa main sur ma jambe de temps en tempsâŠ
Ă la fin du mariage, mon oncle Ă©tait sur le point de sâĂ©vanouir, ma tante et moi avons emmenĂ© mon oncle dans la chambre. Quand ma tante enlevait le haut de mon oncle, jâai dit: âBonne nuit, tante!âJe suis entrĂ© dans ma chambre en disant. Je me suis dĂ©barrassĂ© du costume, je suis allĂ© dans la salle de bain, jâai pris une douche. Je me suis allongĂ© sur le lit avec un short sur moi, la porte de la chambre a frappĂ© pendant que je mĂ©langeais les chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision dans la chambre. Quand jâai ouvert la porte, jâai trouvĂ© ma belle-sĆur devant moi avec un mini short et un T-shirt Ă bretelles qui laissait la moitiĂ© de ses seins au milieu. Ma tante a dit: âJe nâarrivais pas Ă dormir, Serdar, as-tu sommeil aussi, ou devons-nous nous asseoir un moment?âquand il a dit:â Oui, belle-sĆur!Jâai dit. Nous nous sommes assis ensemble sur le lit de ma chambre et avons commencĂ© Ă discuter.
Pendant que ma tante me disait Ă pleins yeux quâelle Ă©tait trĂšs triste que sa fille se marie et, surtout, quâelle allait vivre Ă Antalya, puis quâelle en avait marre de lâalcool de mon oncle, quâil Ă©tait ivre mĂȘme cette nuit spĂ©ciale, jâai consolĂ© ma tante pendant longtemps. Ma belle-sĆur a alors dit â â Serdar, il est temps pour toi de te marier aussi, et quand tu dansais, le vieux mashli a failli entrer dans ta belle-sĆur sans rien dire!âdit-il. Ă ce moment-lĂ , je suis allĂ© au sol par honte. âJe suis dĂ©solĂ©, tante, je nâai pas compris comment câest arrivĂ© non plusâŠ.âquand jâai dit, ma belle-sĆur a dit: âCe nâest pas grave, je ne suis pas une Ă©trangĂšre, mais si ça durcit mĂȘme pour une vieille femme comme moi, alors il est temps pour toi de te marier!âdit-il.
Ma tante Ă©tait trĂšs Ă lâaise, et ce confort mâa permis de me dĂ©barrasser de ma gĂȘne Ă ce premier instant. Belle-soeur â â Tu nâes pas vieille, belle-soeur! Tu as un Mashallah, tu es trĂšs belle!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Suis-je vraiment comme ça?âquand il a dit:â Oui, tante, pourquoi mentirais-je? En fait, vous ĂȘtes une trĂšs belle femme qui a lâair beaucoup plus jeune pour son Ăąge!Jâai dit. Ma belle-sĆur aimait entendre ces choses ââ Tu es aussi trĂšs beau! Jâai mĂȘme vraiment aimĂ© sentir ton truc quand je dansais! Celui de mon oncle ne devient plus dur, jâaime vraiment ressentir cette duretĂ© aprĂšs longtemps, surtout de la part dâune jeune et belle personne comme toi!âdit-il.
La couleur de la conversation avait complĂštement changĂ©, comme si ce nâĂ©tait pas ma belle-sĆur Ă qui je parlais Ă ce moment-lĂ , mais une femme que je ne connaissais pas. Ma tante a dit: âJe suis dĂ©solĂ©e pour toi, câest une mauvaise situation dâĂȘtre privĂ©e de cette beautĂ© Ă cet Ăąge!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit un profond â Ahhh!âil est sorti et a dit:â Oui, Serdar, alors dansons avec toi de temps en temps et donne-moi ce qui me manque! DĂ©c.âdit-il. Les intentions de ma belle-sĆur Ă©taient Ă©videntes, et les choses que je dirais et ferais pourraient bouleverser toute ma vie. Plus important encore, cela mâempĂȘcherait de regarder le visage de mon oncle, qui a pris soin de moi, mâa Ă©levĂ©. Je pensais Ă ces choses Ă ce moment-lĂ , et je suis restĂ© silencieux pendant un moment.
Ma belle-sĆur a dit ââ Quâen pensez-vous?âquand il a demandĂ©:â Ce serait trĂšs agrĂ©able de vivre certaines choses avec toi, tante, mais je ne peux regarder le visage de mon oncle!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit â â Je sais, mais jâai fait beaucoup de travail pour toi aussi, ne mĂ©rite-je pas dâĂȘtre heureuse?âdit-il. Tante, âTu lâes!âquand jâai dit: âAlors belle-sĆur, je veux juste danser!âdit-il. Nous savions tous les deux que cela nâallait pas sâarrĂȘter Ă la danse. Mais quand mĂȘme, jâai dit: âDâaccord, tante!Jâai dit. Jâai trouvĂ© une chaĂźne musicale Ă la tĂ©lĂ© et jâai invitĂ© ma tante Ă danser.
Ma tante et moi avons commencĂ© Ă danser trĂšs prĂšs et chaleureusement cette fois. Ma belle-sĆur sâest collĂ©e Ă moi dĂ©cemment pendant la danse et a commencĂ© Ă mâembrasser sur le cou et lâoreille de temps en temps. Et quand il a senti ma bite durcir, il a dit: âCâest tellement beau! il a dit: âIl a mis ses mains sur mes hanches et mâa rapprochĂ© de lui. Je ne pouvais plus le supporter non plus, jâai mis mes mains sur les cuisses de ma tante et jâai commencĂ© Ă les caresser lentement. Nous Ă©tions tous les deux Ă lâĂ©cart maintenant. Alors que je caressais les fesses de ma belle-sĆur, ma belle-sĆur a dit: âOhhh, câest tellement beau!âil disait.
Nous avons continuĂ© comme ça pendant longtemps. Quand nous nous sommes finalement retrouvĂ©s face Ă face avec ma tante, jâai mis un baiser sur les lĂšvres de ma belle-sĆur et lui ai dit: âTu es trĂšs belle, belle-sĆur!Jâai dit. Ma belle-sĆur mâa aussi embrassĂ© et mâa dit: âTu es aussi trĂšs beau!âil a dit, et sâest soudainement agenouillĂ© devant moi, a baissĂ© mon short, a pris ma bite pierreuse dans ses mains et a commencĂ© Ă la lĂ©cher. Bien quâavec difficultĂ©, il a enfoncĂ© ma bite Ă mi-chemin dans sa bouche et lâa retirĂ©e, puis a embrassĂ© Ă nouveau sa tĂȘte, lĂ©chĂ©, sucĂ©. âSerdar, câest trĂšs gros⊠Câest trĂšs beau!âen disant cela, aprĂšs avoir lĂ©chĂ© un peu plus longtemps, il sâest levĂ© et a commencĂ© Ă se dĂ©shabiller devant moi.
CâĂ©tait trĂšs agrĂ©able de voir son beau corps nu, ce qui a ajoutĂ© de la couleur Ă mon adolescence. Jâai serrĂ© ma tante dans mes bras et lâai mise au lit, et je me suis mis sur elle et jâai embrassĂ© ses seins pendant un long moment, lĂ©chĂ©, sucĂ©. Ma belle-sĆur a commencĂ© Ă gĂ©mir un peu. Quand je suis descendu entre les jambes et que jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte, ma tante gĂ©missait bruyamment dans un Ă©tat extatique. DĂ©c. Ma belle-sĆur nâa pas supportĂ© que je lui lĂšche la chatte pendant longtemps, et au bout dâun moment, elle a eu un orgasme en se contractant, en tremblant et en gĂ©missant. Mais sans vouloir faire de pause, jâai dit: âAllez, tante dick, mec ! DĂ©c!âdit-il.
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