Nous avons dĂ©cidĂ© dâĂ©pouser ma femme actuelle au dĂ©but de cette annĂ©e et je me suis mariĂ© il y a 2 mois. Au cours de la pĂ©riode dâun an prĂ©cĂ©dant mon mariage, jâĂ©tais pressĂ© de me marier, je restaurais ma maison depuis le dĂ©but, je faisais de belles finitions, je mâoccupais de chaque cadre, aprĂšs tout, ce serait ma propre maison. Heureusement, le fils de ma tante mâaidait dans la construction rude et mince de ma maison. Jâappelais ta tante Ă lâaide tous les jours, et elle arrivait. Mais mon but Ă©tait de voir sa femme, câest-Ă -dire ma belle-sĆur. Je me sentais bien quand je voyais ma tante, ça me donnait du bonheur de regarder ma tante, dâĂȘtre proche de ma tante. Je voulais tellement baiser ma belle-sĆur que câĂ©tait un dĂ©sir indescriptible. Chaque fois que je voyais ma belle-sĆur, jâallais dans la salle de bain, imaginais que je baisais ma belle-sĆur et tirais sur 31. Ma belle-sĆur Ă©tait devenue mon idole sexuelleâŠ
Mais jâavais aussi trĂšs peur de biryan, parce que le fils de ma tante Ă©tait un type dangereux, un psychopathe Ă lâextĂ©rieur, mais il se moquait de sa femme. Je pense quâil Ă©tait au courant de certaines choses aussi. Une fois quâHalaoglu Ă©tait avec nous, nous Ă©tions assis sur le balcon en train de boire du thĂ©, ma mĂšre et mon pĂšre Ă©taient avec nous. Ma tante venait aussi nous voir Ă pied. Ă ce moment-lĂ , halaoglu a montrĂ© ma tante Ă ma mĂšre et a dit â â Regarde ma femme, comme elle est belle quand elle marche!âdit-il. Ce mot suffisait dĂ©jĂ Ă me provoquer. Halaoglu avait 8 ans de plus que ma tante et Ă©tait un homme laid qui nâavait aucun achat. Son mariage avec ma tante avait Ă©tĂ© sur rendez-vous, les anciens avaient dĂ©cidĂ©, et ma tante avait acceptĂ©. Mais quand ils sont venus lâun Ă cĂŽtĂ© de lâautre, il y avait des montagnes de diffĂ©rence, lâune Ă©tait trĂšs belle, lâautre trĂšs laide. Ma tante Ă©tait consciente de sa beautĂ©, halaoglu Ă©tait conscient de la beautĂ© de sa femme, et je suis sĂ»r quâil baisait ma tante tous les soirs pour que les yeux de ma tante ne soient pas Ă©teints. ils ont eu 2 enfants, un garçon et une fille, ils Ă©taient une famille trĂšs heureuse. Ma belle-sĆur turbanĂ©e Ă©tait une personne qui aimait lâhonneur.
Mais quelque chose devait arriver, ça devait arriver, jâĂ©tais sur le point de craquer. Jâai dĂ» convaincre ma belle-sĆur dâune maniĂšre ou dâune autre, la confondre, me mettre dans son esprit. En mĂȘme temps, jâavais peur de ma tante et jâavais peur que ma belle-sĆur me claque dessus. Ma belle-sĆur Ă©tait une femme parfaite avec un corps parfait Ă mes yeux. Elle et son mari venaient constamment nous aider et nous travaillions jusque tard dans la nuit. Parfois, son mari ne venait pas, seule ma tante venait aider ma mĂšre. Le sol de ma maison est en bois, un jour ma belle-sĆur les essuyait. Il portait un badi, et je fume debout. Ses seins Ă©taient sur le point de sortir quand ma tante essuyait les sols, elle avait des seins super dodus blancs. Alors quâelle essuyait les sols, ses seins bougeaient, tournaient presque en rond. Ma belle-sĆur voulait que je mâen occupe, ou elle aidait tout Ă fait innocemment, inconsciente de mes pensĂ©es. Jâobservais aussi attentivement ma belle-sĆur, alors quâun lion se dĂ©place lentement et profondĂ©ment tout en attrapant sa proie. Je ne pouvais pas mâempĂȘcher de regarder ma belle-sĆur. Jâavais envie de passer derriĂšre ma belle-sĆur Ă ce moment-lĂ et de regarder son cul, ce que jâadmirais. Et je me suis mis derriĂšre lui, la sĂ©paration de son cul Ă©tait visible. Jâallais devenir fou. Jâai commencĂ© Ă regarder ma tante dans les yeux excitĂ©e et excitĂ©e. Ma belle-sĆur a commencĂ© Ă me regarder, elle a compris la situation, je pense quâelle le voulait aussi. Nous avions tous les deux besoin dâune opportunitĂ©.
Le lendemain, ma tante est revenue. Cette fois, ma mĂšre nâĂ©tait pas Ă la maison, elle Ă©tait descendue jusquâau dimanche. Ma tante a posĂ© des questions sur ma mĂšre, jâai dit quâelle Ă©tait au dimanche, quâelle viendrait bientĂŽt, et je lui ai demandĂ© de mâaider. Ma belle-sĆur a dit â â Dâaccord!âquand il a dit cela, lâopportunitĂ© attendue Ă©tait venue. Ma tante essuyait le marbre dans la cuisine, sa taille Ă©tait ouverte, sa peau Ă©tait visible. Je nâai pas pu rĂ©sister et jâai attaquĂ© ma belle-sĆur directement par derriĂšre. Avant que ma tante ne puisse en dire plus, jâai mis ma main dans sa chatte et je lâai passĂ©e sur elle. Et ce qui sâest passĂ© est arrivĂ©, ma belle-sĆur sâest laissĂ©e aller mardi. Jâai soulevĂ© la jupe de ma belle-sĆur, je suis devenu fou quand jâai vu ses fesses dĂ©border de la culotte en culotte blanche. Quand jâai baissĂ© sa culotte, ma belle-sĆur nâa dĂ©finitivement pas rĂ©sistĂ©, elle le voulait, câĂ©tait Ă©vident. Mais jâavais peur quâil ne le donne pas. Jâai sorti ma bite et lâai mise dans sa chatte sans perdre de temps. Quand jây suis entrĂ©, oh mon Dieu, la chatte de ma belle-sĆur brĂ»lait. Jâai penchĂ© la tĂȘte de ma belle-sĆur sur le comptoir et jâai commencĂ© Ă baiser. aprĂšs 5 minutes, ma tante avait Ă©jaculĂ©, mais je continuais Ă baiser parce que jâĂ©jaculais tard. Ma belle-sĆur Ă©tait folle maintenant, me suppliant de jouir, elle avait peur de se faire prendre. Mais jâai trouvĂ© la chatte, vais-je la laisser partir! Je baisais abana abana la chatte de ma belle-soeurâŠ
Alors que ma belle-sĆur suppliait, je devenais fiĂšre et je nâarrivais pas Ă y croire, jâĂ©tais dans la chatte de la femme que jâĂ©tais folle de baiser et elle me suppliait. JâĂ©tais folle de plaisir et jâai commencĂ© Ă demander Ă ma belle-sĆur: âQui suis-je?Jâai dit. Ma belle-sĆur nâa pas compris au dĂ©but, alors jâai demandĂ© Ă nouveau: âQue suis-je pour toi maintenant?âJâai dit:â Tu es mon homme!âdit-il. âQuoi dâautre?âJâai dit:â Tu es un enfoirĂ©!âdit-il. âQuoi dâautre?âJâai dit:â Tu es tout pour moi!âil a dit parce quâil voulait que ça se termine le plus tĂŽt possible parce quâil avait peur dâĂȘtre attrapĂ©. âJe suis la personne qui a le pouvoir de te baiser quand je veux, quand je veux! Tu vas dire ça!âJâai dit, ma belle-sĆur me lâa dit aussi. Jâai continuĂ© Ă baiser la chatte de ma belle-sĆur en lui fouettant le cul. Ma belle-sĆur a Ă©jaculĂ© sur la deuxiĂšme, elle ne pouvait pas se lever, la ligature de ses genoux Ă©tait dĂ©liĂ©e, âSâil te plaĂźt jouis, bĂ©bĂ©!âdit-il. âEh bien! Mais je vais jouir sur ton cul!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit quâelle nâavait jamais donnĂ© son cul mĂȘme Ă son mari et quâelle ne lâacceptait pas. Cela mâa excitĂ© encore plus, je me suis dit: âOK! Allons au salon!âJâai dit, je lâai pris de la cuisine et je lâai emmenĂ© sur le canapĂ©. Je nâarrivais pas Ă y croire, cette femme dont jâavais peur faisait tout ce que je disais. Yenegem avait peur de se faire prendre, mais elle voulait aussi se faire baiser, câĂ©tait Ă©videntâŠ
Jâai assis ma belle-sĆur sur le canapĂ© et jâai mis ma bite dans sa bouche. Ma belle-sĆur a commencĂ© Ă prendre une fellation. Mon Dieu, quelle convoitise, quel dĂ©sir il est! âBelle-sĆur, votre mari ne vous lâa-t-il jamais mis dans la bouche?Jâai dit. âLa sienne est petite, nâest-ce pas une telle bite sucĂ©e?âquand jâai dit ça, je me suis senti diffĂ©rent. Je me suis dit, (Putain, cette honnĂȘte femme, elle ne te le donnera jamais, regarde juste la femme fermĂ©e que je tâai dit de baiser ton rĂȘve, ce quâelle dit, ce quâelle fait, elle me suce mĂȘme les couilles!) je rĂ©flĂ©chissais. Les veines de ma bite Ă©taient sur le point dâĂ©clater maintenant. Jâai fait recroqueviller ma belle-sĆur sur le canapĂ© et je suis revenu derriĂšre elle, jâai ouvert ses fesses et jâai commencĂ© Ă lui lĂ©cher la chatte et Ă lui doigter le cul en mĂȘme temps. Ma belle-sĆur sâest fĂąchĂ©e: âNe fais pas ça!âdit-il. âJe le fais pour que tu en profites davantage, tante!âJâai dit:â et il a acceptĂ© cette situation. Mon but Ă©tait de mâhabituer au cul de ma tante et de la baiser dans le cul quand elle Ă©tait folle de plaisir. Et le moment attendu est arrivĂ©, il Ă©tait fou maintenant, il Ă©tait sur le point dâĂ©jaculer une fois de plus, il faisait des mouvements Ă©tranges, sa voix tremblait quand il parlait, juste Ă ce moment jâai enracinĂ© ma bite en la posant contre le trou de son cul. Ma belle-sĆur a Ă©tĂ© surprise de douleur et a commencĂ© Ă crier â â Fils de pute! Ne tâai-je pas dit de ne pas le faire Ă partir de lĂ ? EnlĂšve-le, salaud! Jây vais!âdit-il. Mais je nâavais aucune intention dâarrĂȘter, jâĂ©tais encore plus accablĂ©. Jâai fait un petit va-et-vient sur son cul, ma belle-sĆur sâest laissĂ©e aller, mĂȘme si elle ne voulait pas, elle a eu une bite dans le cul une fois, elle lâa acceptĂ©e par nĂ©cessitĂ©âŠ
Quand le cul de ma belle-sĆur sây est habituĂ©, elle a dit: âJe ne le donne pas Ă mon mari, tu me fous dans le cul, salaud!âdit-il. Jâai ri et jâai dit ââCâest la diffĂ©rence entre toi et ton mari, tout le monde baise le donneur, et je baise ce que je veux, fais tout et fais-le!Jâai dit. Avec un sourire, jâai dit: âTu es un salaud!âdit-il. âMĂȘme si je suis un bĂątard, je suis ton deuxiĂšme mari maintenant, et tu es ma pute!âJâai dit:â et jâai continuĂ© Ă baiser ma belle-sĆur dans le cul. Mais jâai ralenti le rythme et je te baise le cul en parlant. Ma belle-sĆur a dit: âQuâest-ce que tu as finalement fait, baise-moi, es-tu heureuse?âdit-il. âComment ça! Et toi? Tu ne voulais pas aussi?Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit: âJâai compris au dĂ©but, tu nâĂ©tais pas incomprĂ©hensible de toute façon, jâĂ©tais en colĂšre contre toi, mais je nâai rien dit parce que je pensais que tu ne pouvais rien faire, plus tard je voulais aussi, jâĂ©tais en colĂšre contre moi-mĂȘme pour ce qui se passerait si nous nous faisions prendre, mais maintenant je suis en dessous, profite de la bite, peut-ĂȘtre que ça ne se reproduira plus!âdit-il. Je devenais folle, parce que ça allait ĂȘtre la derniĂšre fois, je suis devenue vraiment grosse, jâai accĂ©lĂ©rĂ© et jâai finalement Ă©jaculĂ© sur le cul de ma belle-sĆur. Ma belle-sĆur a immĂ©diatement dit â â Ta mĂšre sera bientĂŽt lĂ , fais tes valises!âil a dit, et nous nous sommes rassemblĂ©s, nous avons continuĂ© Ă nettoyer comme si de rien nâĂ©tait. Bien sĂ»r, nous avons jouĂ© ensemble de temps en temps jusquâĂ ce que maman vienne en dĂ©cembre.DĂ©c. Maman est venue, on a nettoyĂ©. Sans Decking, ma mĂšre, ma tante et moi nous regardions de temps en temps et clignions de lâĆil.
Je me suis mariĂ© aprĂšs une longue pause et ma tante et moi nâavons plus jamais eu de relations sexuelles, mais je pensais constamment Ă ma tante. DĂ©c. Nous nous voyions presque tous les jours en famille. Elle vient nous voir avec son mari et courtisait son mari pour me rendre jalouse, je devenais folle et elle apprĂ©ciait ça. Un jour, je suis sorti acheter de la biĂšre Ă lâĂ©picerie, et sur le chemin du retour, jâai vu ma belle-sĆur sur le balcon. Il mâa dit: âQuâest-ce que tu fais?âdit-il. âRien, je rentre chez moi prendre une biĂšre!Jâai dit. âQue fait votre femme?âil a dit:â Au travail, il travaille!Jâai dit. âTa mĂšre est Ă la maison?âdit-il. âOui!Jâai dit. âEnvoie ta stupide mĂšre loin de la maison pour que je puisse venir la voir!âdit-il. Je paniquais, genre, â Dâaccord, je vais tâappeler!âJâai dit:â Je suis rentrĂ© chez moi. Jâai dit Ă ma mĂšre â â Maman, allons voir mes tantes, je mâennuie, je vais parler Ă mes cousins!Jâai dit. Maman a dit: âDâaccord!âil a dit:â nous sommes entrĂ©s et sommes allĂ©s Ă la voiture. au bout de 5 minutes, je suis sorti sur le balcon pour fumer et je suis rentrĂ©, â Maman, je dois sortir, ma femme a appelĂ©, il y a un problĂšme avec sa carte de crĂ©dit, je vais aller Ă la banque!Jâai dit. âDâaccord!âils ont dit. Je suis parti de lĂ et je suis allĂ© chez moi, jâai appelĂ© ma belle-sĆur, âDâaccord, je nâai pas de mĂšre!âjâai ditâŠ
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