Je m’appelle Mehmet. J’ai 28 ans, je ne suis pas considĂ©rĂ© comme beau, mais ils disent que ma capacitĂ© Ă parler est trĂšs bonne. J’Ă©tais au chĂŽmage et j’ai rempli le formulaire de candidature dans une Ă©picerie (appartenant Ă la grande chaĂźne d’Ă©piceries de Turquie) oĂč je suis allĂ© postuler pour un emploi. Ils m’ont dit de donner le formulaire Ă l’intĂ©rieur de la chambre du directeur. Quand je suis entrĂ©, j’ai vu que le gĂ©rant Ă©tait une dame. c’Ă©tait une femme de 35-36 ans avec un cul vraiment incroyable. AprĂšs une courte conversation avec moi, il m’a embauchĂ©. J’ai commencĂ© le lendemain. Il y avait 1 homme et 4 femmes au travail, sauf moi, ils Ă©taient tous mariĂ©s et j’Ă©tais cĂ©libataire. Chaque fois que je le vois, je ne peux quitter des yeux le cul du manager. Mme la gĂ©rante 1.70 ans, 60 kg, belle, mariĂ©e mais n’a jamais eu d’enfants. Plus tard, j’ai dĂ©couvert qu’elle Ă©tait la deuxiĂšme Ă©pouse de son mari et qu’elle ne voulait pas d’enfants parce que son mari avait 1 enfant de son premier mariage, donc Deca Ă©tait un citron.
Quelques jours plus tard, lorsque son mari est allĂ© Ă Izmir pour rendre visite Ă sa famille, le jour s’est levĂ© pour moi. Ils ne peuvent pas donner Ă tout le monde le mĂȘme jour de congĂ© Ă l’Ă©picerie. Cela faisait 4 mois que j’Ă©tais entrĂ© et je n’avais jamais eu de dimanche de congĂ©. Je n’Ă©tais pas dĂ©rangĂ© parce que j’Ă©tais cĂ©libataire non plus. J’ai Ă©tĂ© surpris quand on m’a donnĂ© un dimanche de congĂ© ce jour-lĂ , et je suis allĂ© voir le directeur chez la dame et j’ai dit: âY a-t-il une erreur, je me demande?”quand j’ai demandĂ©, il a dit:” Non, je l’ai Ă©crit exprĂšs!”dit-il. Alors je l’ai remerciĂ© et je ne m’y suis pas trop attardĂ©. C’est arrivĂ© un vendredi. Quand il Ă©tait temps de fermer le magasin, je suis allĂ© voir le gĂ©rant dans la chambre de la dame, âNous fermons.”pour signifier. La principale dame se disputait avec son mari au tĂ©lĂ©phone de maniĂšre passionnĂ©eâŠ
Quand elle a fini de parler Ă son mari, elle est descendue, nous avons raccrochĂ©. Tout le monde s’est dispersĂ© chez eux. Quand moi et la gĂ©rante sommes restĂ©s, il m’a dit â ” Viens, je vais te faire faire un tour!”dit-il. On est montĂ©s dans sa voiture et on partait. Il s’est excusĂ© pour la discussion au tĂ©lĂ©phone. J’ai immĂ©diatement dit :” Vous disputiez-vous avec votre femme?J’ai dit. “Oui, ça ne marche plus, on divorce!”quand il a dit que les mondes Ă©taient devenus les miens, c’Ă©tait comme s’il allait m’Ă©pouser directement. Nous avons parlĂ© pendant environ une demi-heure. Il m’a demandĂ© si j’avais un emploi du temps pour dimanche. Pensant dans mes tripes “”Bon sang, il a renoncĂ© Ă prendre congĂ© le dimanche”, j’ai dit â” Je n’ai pas de plan!J’ai dit. “Eh bien, alors je viendrai te chercher et nous irons au barrage, discuterons un peu!”dit-il. Je ne peux vous dire Ă quel point j’Ă©tais content quand j’ai entendu ça. Il a Ă©galement remarquĂ© ma joie et a dit â ” Si j’avais su qu’Ă©couter mes problĂšmes vous rendrait si heureux, je vous en aurais parlĂ© plus tĂŽt!”il a plaisantĂ©. Il m’a fait sortir de la voiture devant chez moi et a continuĂ© son chemin. Cette nuit-lĂ , j’ai dit au gĂ©rant que j’avais tirĂ© 31 fois 2 fois en pensant au cul incroyable de la dame, et j’ai dormi comme ça.
2 jours ne se sont pas Ă©coulĂ©s d’une maniĂšre ou d’une autre. C’Ă©tait enfin dimanche. Je me suis rĂ©veillĂ© tĂŽt le matin, j’ai pris un bain, coupĂ© les poils de ma bite au cas oĂč, et je me suis prĂ©parĂ©. Il a appelĂ© Ă 11h00, ” Ătes-vous prĂȘt?”il est Ă©galement arrivĂ© 15 minutes plus tard. C’Ă©tait magnifique, il y avait une jupe au dessus du genou, et une chemise avec 1 bouton ouvert au col. Quand je le voyais comme ça, je ne pouvais plus le quitter des yeux, plus je regardais, ma bite se levait et il devenait de plus en plus difficile de se cacher. La dame du gĂ©rant avait des mouvements plus dĂ©tendus. Quand nous sommes arrivĂ©s au barrage, il a dit â ” Allons chercher quelque chose Ă boire.”dit-il. “Que devras-tu boire?J’ai dit. âJe veux boire de la biĂšre!”quand j’ai dit “Pour une raison quelconque, j’Ă©tais excitĂ©. J’ai pris les biĂšres et on a arrĂȘtĂ© la voiture quelque part. Il commença Ă expliquer. Bien sĂ»r, je dis toujours qu’il a raison et je dis: âCe n’est pas fait Ă une belle et sĂ©duisante dame comme vous!â je dĂ©gageais des gaz commeâŠ
Au fil du temps et un peu sous l’influence des biĂšres, le sujet se dĂ©plaçait vers la sexualitĂ©. âJ’ai endurĂ© des souffrances insupportables pour ce salaud!”dit-il. Alors je me suis allongĂ© sur ses pieds purs et j’ai dit :” Quel genre de douleur? Ătait-il en train de te battre?J’ai dit. “Il voulait le faire par derriĂšre Ă chaque fois que nous faisions l’amour, sans battre, je ne pouvais pas supporter sa douleur, mais je ne pouvais pas la briser et je la donnerais!”dit-il. Quand il a entendu ces mots, ma bite a dressĂ© une tente et Ă©tait en mesure de percer le devant de mon pantalon. De temps en temps, son Ćil glissait sur ma bite, alors je ne le cachais plus, je le prenais mĂȘme dĂ©cemment plus en compte.âŠ
Puis l’incident s’est tournĂ© vers moi et j’ai dit: âPourquoi n’as-tu pas de petite amie? Pourquoi tu ne trouves personne? Comment gĂ©rez-vous?”dit-il. Je saute toutes les questions en disant: “Comment est-ce que je gĂšre quoi?J’ai dit. Il m’a montrĂ© ma bite en disant: âEh bien…”. Quoi qu’il arrive maintenant, sous l’influence d’une boisson lĂ©gĂšre, âJe tourne 31 en pensant Ă de belles et attirantes dames!J’ai dit. Quand j’ai dit cela, la question que j’attendais est venue: âAvez-vous dĂ©jĂ pensĂ© Ă moi?”dit-il. âTu ne seras pas en colĂšre si je te le dis?J’ai dit. “Non, je ne suis pas en colĂšre, mais toi et nous ne sommes pas lĂ , dĂ©tends-toi, toi et moi pouvons parler!”dit-il. J’ai dit :”Je ne pensais qu’Ă toi depuis 4 mois alors que je tournais 31!J’ai dit. “Oh, oĂč suis-je le plus?”dit-il. Jetant ma main dans sa jupe, j’ai dit: “Ton cul!”j’ai dit et j’ai commencĂ© Ă l’embrasser sur les lĂšvres. Je n’arrivais pas Ă y croire quand j’ai posĂ© ma main sur ses seins, ils Ă©taient comme des pierres. Je n’avais plus la force de rĂ©sister, je voulais la baiser juste lĂ . Il voulait aussi baiser, mais âPas dans la voiture!”dit-il. “OĂč irons-nous?J’ai dit. “Allons vers moi, on sera plus Ă l’aise!”dit-il. J’ai utilisĂ© la voiture pour arriver chez toi dĂšs que possible.
Quand nous sommes entrĂ©s dans sa maison, je suis immĂ©diatement allĂ© dans la salle de bain, j’Ă©tais trĂšs plein, j’en ai sorti 31 et je me suis dĂ©tendu pour ne pas me vider immĂ©diatement. Quand je suis sorti, il Ă©tait assis sur le canapĂ© dans le couloir si fort que son cul en avait l’air. Cette image a soulevĂ© ma bite Ă nouveau. Je suis allĂ© vers lui, je me suis collĂ© Ă sa lĂšvre. Elle Ă©tait aussi plus impatiente car elle n’avait pas pu avoir de relations sexuelles depuis 3 semaines. Nous Ă©tions tous les deux nus jusqu’Ă ce que nous allions dans la chambre. Je l’ai Ă©tirĂ©e sur le lit, en commençant par ses lĂšvres, mordant, suçant, embrassant, lĂ©chant ses seins comme s’ils les arrachaient. Quand j’ai mis ma main dans sa chatte, il faisait trĂšs chaud et humide. J’ai lĂ©chĂ© sa chatte partout. Il ne pouvait plus le supporter, il levait les jambes. Je voulais baiser maintenant aussi, mais d’abord j’ai mis mon garçon dans sa bouche. Elle faisait une super pipe, salope, elle m’a presque vidĂ© avec sa bouche. Je l’ai immĂ©diatement retirĂ© de sa bouche, j’ai pris ses jambes sur mon Ă©paule, je suis lentement entrĂ© dans sa chatte. J’Ă©tais comme, ‘ Oohhh!”il a dit :” Je ne saurais le dire. Au fur et Ă mesure que mes pulsations, qui commençaient en sĂ©rie et lentement, s’accĂ©lĂ©raient, le gĂ©missement augmentait Ă©galement, ses contractions se multipliaient, elle sortait tremblante.
AprĂšs qu’il ait Ă©jaculĂ©, je l’ai tordu, je suis rentrĂ© dans sa chatte. Mais cette fois, j’Ă©tais plus dur. Au bout d’un moment, il revenait. Je ne pouvais pas supporter ses contractions, alors j’allais Ă©jaculer. Je suis immĂ©diatement sorti de sa chatte, elle a avalĂ© mon sperme qui est entrĂ© dans sa bouche d’une maniĂšre Ă laquelle je ne m’attendais pas quand elle Ă©jaculait sur son visage. AprĂšs ĂȘtre allĂ© Ă Bonyo et ĂȘtre revenu, il m’a remerciĂ© en embrassant d’abord ma bite, puis ma lĂšvre. Mais j’ai jetĂ© ma main sur son cul et lui ai dit: âN’allez-vous pas rĂ©aliser mes rĂȘves de 4 mois?J’ai dit. “On y rĂ©flĂ©chira aprĂšs le dĂźner!”dit-il. Je t’ai baisĂ© le cul sur 1 courrier aprĂšs le dĂźner ce jour-lĂ âŠ
Nous avons baisĂ© la gĂ©rante pendant exactement 1 mois. Lorsqu’elle s’est de nouveau rĂ©conciliĂ©e avec son mari, craignant que notre relation ne soit entendue, elle a trouvĂ© une excuse et m’a renvoyĂ©e. Tu vois, je suis Ă nouveau au chĂŽmage maintenant, mais de toute façon, ça valait le coup!