â Ma sĆur, jâai revu le mĂȘme rĂȘve, tu sais?
â Regarde. Tu as encore baisĂ© ta soeur
â Oui, ma sĆur. Je te baise tellement mal. Mais il manquait toujours quelque chose dans mon rĂȘve cette fois.
Je continuais Ă tester ma sĆur avec de faux rĂȘves. Et je voulais que tu rĂ©alises que je savais quâon faisait lâamour. De plus, je faisais ce travail de maniĂšre contrĂŽlĂ©e, juste au cas oĂč il sâen rendrait compte ou non. Mais voir quâil Ă©tait trĂšs excitĂ© pendant que je lui disais que nous faisions lâamour dans mon rĂȘve montrait que jâĂ©tais sur la bonne voie et jâai continuĂ©.
â Comment ça, colt. Tu baises ta soeur, quâest-ce qui manque?
â Je ne sais pas, ma sĆur, ce nâest pas une entiĂšre satisfaction. Câest comme ça que je me rĂ©veille.
Mon oncle riait. Jâai apprĂ©ciĂ© ces conversations. Il a dit: âRegarde ce que ce vilain mec fait dans son rĂȘveâ, et il a mis sa main dans mon pantalon de survĂȘtement et a mis ma bite en coupe. Il a rebondi avec quelques mains, puis mâa sorti de mon pantalon de survĂȘtement et lui a embrassĂ© la tĂȘte. Je nâĂ©tais plus si surpris, je commençais Ă mây habituer. Allez, il lâa toujours fait quand il Ă©tait petit, mais maintenant ce quâil a ramassĂ© et embrassĂ© Ă©tait une Ă©norme bite veineuse. Il lui lĂ©cha un peu la tĂȘte aprĂšs lâavoir embrassĂ©e. Et il a attrapĂ© la racine de ma bite et a commencĂ© Ă la mettre dans et hors de sa bouche autant quâil le pouvait. Nous avons eu des relations sexuelles orales unilatĂ©rales pendant environ une minute avec ma sĆur lĂ -bas. Si cela avait continuĂ© plus longtemps, jâaurais Ă nouveau rempli sa bouche de mon sperme. Il a lĂąchĂ© prise, mais en partant, il lui a embrassĂ© la tĂȘte durement et lâa rentrĂ©e dans mon pantalon de survĂȘtement.
Cette fois, nous avons attrapĂ© 7 poissons et deux dâentre eux Ă©taient assez gros. Nous sommes rentrĂ©s Ă la maison Ă 9 heures. Maman et papa avaient dĂ©jĂ prĂ©parĂ© le thĂ© et bu leurs premiers verres ensemble. Mon pĂšre Ă©tait content de revoir le poisson. Il a dit: âSi tu continues comme ça, je vais pĂȘcherâ et nous avons ri. Nous avons encore pris un bon petit dĂ©jeuner ensemble. Ce jour-lĂ , nous nous sommes attardĂ©s ensemble dans le jardin. Nous avons arrachĂ© lâherbe, arrosĂ© les arbres et rangĂ© le jardin. Nous avons fait quelque chose pour nous reposer jusquâĂ presque le soir. Nous avons passĂ© une excellente journĂ©e de rire. Ă midi, mon pĂšre a grillĂ© notre poisson. Vers le soir dans notre manoir dans le jardin, nous avons tous dormi environ 2 heures. Lâappel tĂ©lĂ©phonique Ă mon pĂšre nous a tous rĂ©veillĂ©s. Nous avons bien dormi, mais nous nous sommes tous reposĂ©s.
Mon pĂšre Ă©tait au tĂ©lĂ©phone en train de parler au fils de son oncle dans le village voisin. Le frĂšre de Recep a 4 ans de moins que mon pĂšre. Lui et sa famille sont de bonnes personnes. La femme de Recep Abi est tombĂ©e enceinte deux fois, une fausse couche Ă 5 mois et lâautre Ă 8 mois. Ils Ă©taient trĂšs contrariĂ©s. AprĂšs cela, il nây avait aucune nouvelle de grossesse de tante Seher. Soit ils nâont pas rĂ©essayĂ© Ă cause de leur tristesse, soit il y a un problĂšme physique, je ne sais pas. JâĂ©tais jeune Ă lâĂ©poque, bien sĂ»r. Quand je suis allĂ© Ă Izmir, je ne les avais pas vus depuis cinq ans. FrĂšre Recep et tante Seher nous aiment beaucoup, ma sĆur et moi. Peut â ĂȘtre Ă cause de la nostalgie des enfants.
FrĂšre Recep a dit Ă mon pĂšre que tu devais dĂźner avec nous. Il nous a demandĂ©, nous avons dit âça irait bienâ. FrĂšre Recep et mon pĂšre aiment tous les deux les jeux de notre rĂ©gion, Ă savoir les zeybeks, et y jouent bien. Ils disent que je joue bien aussi, mais ils sont mon idole pour ça. Ma mĂšre criait au tĂ©lĂ©phone pendant quâils parlaient.
â Recep, je nâai quâune seule condition. Vous jouerez Ă Zeybek
Recep Abi a dit que la commande de ma tante serait, nous avons ri. Il a dit: âAlors laisse mon frĂšre porter son pantalon et mettre son turban.âMon pĂšre a acceptĂ© en riant parce quâil lâaimait aussi. AprĂšs le dĂźner, nous avons commencĂ© Ă nous prĂ©parer. Mon pĂšre a mis son shalwar et a enroulĂ© un turban autour de sa taille. Il mit sa veste de poche sur sa chemise et enroula un turban sur sa tĂȘte. Ma mĂšre mâa dit: âAllez, jeune efe, tu peux tâhabiller comme efe et tu joueras aussi. Je portais aussi les vĂȘtements de mon pĂšre. Bien sĂ»r, jâĂ©tais un peu trop occupĂ©. Je ne portais pas de culotte sous mon baggy. MĂȘme si ma bite se dressait comme du fer, le zeybek shalwar Ă©tait si lĂąche et grossier que ce ne serait jamais Ă©vident. Jâaimais vraiment ce travail. Jâai regardĂ© ma sĆur et elle a aussi aimĂ© cette situationâŠ.
Pendant que nous Ă©tions sur la route, ma sĆur a pris un mince brochet avec nous car les routes de campagne sont fraĂźches le soir. Jâai compris le point. Lâesprit vif de ma sĆur mâa rendu heureux. Le village des frĂšres Recep Ă©tait Ă 40 minutes. Ce nâĂ©tait pas loin, mais comme câĂ©tait une route de campagne, câĂ©tait lent Ă faire. Nous avons eu une conversation en chemin, mon pĂšre avait ouvert les zeybeks et nous Ă©coutions. Jâai commencĂ© Ă bouger mes jambes au rythme des chansons dâoĂč jâĂ©tais assis. Ma sĆur a dit Ă ma mĂšre: âĂcoute, il ne pouvait pas ĂȘtre patient avec notre petit maĂźtre.âEt il a mis sa main sur ma jambe. Il me caressait la jambe comme sâil mâaimait. Alors quâil caressait ma jambe, ma bite sous le shalwar sâest immĂ©diatement levĂ©e comme un mauser. Pendant que ma sĆur lui caressait la main, elle touchait la racine de ma bite. Ma sĆur a tirĂ© le brochet sur nous parce que jâavais un peu froid. Maintenant, ma sĆur pouvait faire chacun de ses mouvements confortablement, et jâĂ©tais soulagĂ©e de ce mouvement. Jâai vu que la main de ma mĂšre Ă©tait aussi sur la jambe de mon pĂšre. Bien sĂ»r, ils ne pouvaient pas bouger confortablement juste devant nous. Mais quand mĂȘme, ma mĂšre serrait et serrait la jambe de mon pĂšre vers le haut. Ma sĆur a Ă©tirĂ© ses jambes vers la porte et sâest appuyĂ©e contre ma poitrine. Alors je me suis appuyĂ© contre ma porte quand il a fait ça. Maintenant, ma sĆur et moi Ă©tions dans une position Ă moitiĂ© couchĂ©e. Jâai dit Ă haute voix Ă ma sĆur: âTu peux dormir une demi-heure, ma sĆurâ. Mon pĂšre a dit: âMais nous ne te rĂ©veillerons pas Ă notre arrivĂ©e en riant. DĂšs que ma sĆur a mis sa tĂȘte sur ma poitrine sous le brochet, elle a immĂ©diatement mis sa main sur ma bite. Il lâattrapa tellement par-dessus le shalwar que cela lui donna du plaisir comme sâil le tenait nu. Il attrapait sa tĂȘte, attrapait son corps et dĂ©plaçait ses mains jusquâau fond. Il sâest penchĂ© sur mon oreille et a dit avec un sourire: âLa fille qui sera ta petite amie Ă lâuniversitĂ©, bĂ©bĂ© trĂšs chanceuxâ. Je lâai ignorĂ© et jâai dit âpourquoi ma sĆurâ. Mais ma voix est sortie un peu tremblante Ă cause du plaisir que je ressentais. Parce que ma sĆur caressait ma bite en remplissant tellement ses paumes que je baisais littĂ©ralement ta main. Il a continuĂ© en le caressant: âPourquoi dit-il, regarde ça. Les boulettes de viande ne peuvent pas tenir dans votre main.
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